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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 11:16
Hier soir, avant les Victoires de la musique, je téléphone à une amie qui me dit “Bah, de toute façon je connais personne, je ne vais pas regarder cette émission”.

 

Dix minutes plus tard, je la rappelle pour lui demander si elle connaît Véronique Sanson et Alain Chamfort... pour déconner. Parce ce que si aux NRJ Miouzic Aouarde, effectivement, il n’y a (pour moi) que des inconnus au bataillon, aux Victoires de la musique j’y ai quand même quelques repères.

 

Véronique Sanson n’a jamais mieux porté son nom (“sans son”, faites un effort !). Elle a beau surjouer sur ce qui lui reste de vibrato en “Ouayé” et autres onomatopées soul (complètement saoule d’ailleurs), ben on a rien capté aux paroles. Allez mamie, prend tes gouttes et on va te ramener...

 

Mais avant la pitoyable prestation de Véro, nous avons eu droit aux échappés de Bamako, Amadou et Mariam, qui avec une ligne de paroles font une chanson d’un quart d’heure. Et comme disait Ray Charles :” OK, j’suis aveugle mais j’aurais pu être noir !”. Prix du politiquement correct pour leur album “musique du monde”. Khaled a échappé au prix du printemps arabe mais il aurait pu concourir pour le prix de la femme battue !

 

Pour le prix des musiques urbaines (comprendre : Wesh la zicmu de la banlieue), il y avait : Sexion d’assaut (ça me fait mal d’écrire Sexion comme ça et d’assaut aussi d’ailleurs, mais bon à porter des casquettes de travers, ça doit comprimer les neurones), Orelsan et des danseuses habillées déshabillées par Etam Lingerie, et Oxmo Puccino (ou plutôt Oxchmo Puchino).

 

Orelsan n’est pas tatoué ? C’est quoi ce bordel ? Ça danse -enfin ça se frotte avec une dizaine de filles à moitié à poil- torse nu et il est blanc comme un poulet Label Rouge ! Wesh, ziva le branleur !

 

Et Sexion d’Assaut (ouille) les caïds du neuf-trois qui chantent une chanson d’amour pour leurs mômans, c’est cro mignon !

 

J’ai fait la connaissance d’Oxchmo Puchino, comme quoi même avec un défaut de prononchiachion, on peut percher dans la chanchon.

 

Dans le registre musiques urbaines, y’avait aussi Tal, chanteuse de R&B (et là je m’adresse aux anciens, R&B ne veut pas dire rythme and blues...). 

 

Dans la catégorie expression corporelle et éveil musical par le corps pour les enfants en primaire, nous avons Camille.

 

Au rayon des inconnues avec un nom qu’on croit reconnaître (Barbara Carlotti, ça sonne plutôt chanteuse d’opéra nan ?), c’est une Véronique Sanson en devenir, car heureusement qu’elle a une chorale derrière elle pour rattraper ses couacs.

 

Et puis il y a les enfants de... avec l’insupportable Lou Douillon félicitée par sa mère (Jane Birkin qui apparemment sortait du lit). Deux minutes de plus de la prestation de Lou et je balançais un parpaing dans ma télé. Prix de l’album rock ? Mouais prix de l’attitioude rock, j’menfoutiste...

 

Et puis le fiston Dutronc, qui lui au moins sait manier une guitare et ne s’entoure pas de tasspé en soutien-gorge. Elle était gironde, sa partenaire en fourreau doré...

 

Bon, les BB Brunes, on en parle ? Ils sont mauvais hein ? A part taper comme des sourds sur leurs guitares et se donner des airs de mauvais garçons, y’a pas de quoi se relever la nuit pour les applaudir !

 

Avec Skip the use, j’ai découvert que le punk était toujours à la mode (no futurlututu).

 

Je croyais que Chaka Ponk était un groupe des années 80 . Et ben oui ! Et si ce n’est pas eux, ils sont empruntés le même nom les sacripants ! Vont-ils faire la même carrière express ?

 

J’ai entendu Sheila (j’ai pas rêvé ? Je tirais la chasse d’eau...). Y’a aussi eu la Grande Fophie, Dominique A, Benjamin Biolay (s’était-il fait un shampooing ?) j’en ai raté quelques-uns en étendant la lessive (pas très rock comme attitioude).

 

Et puis, si j’ai regardé les Victoires de la musique cette année c’était surtout pour C2C (Cé-deux-Cé comme ils ont dit sur France Info le matin). Et ben ouais, ça fait quand même plus d’une dizaine d’années qu’ils jouent -et quand je dit qu’ils jouent -composition et interprètation, rien à voir avec l’autre pinpin de David Guetta qui pose un disque sur une platine pour palper des millions d’euros-.

 

J’ai découvert Hocus Pocus, puis C2C et là, je n’en démords pas, ces gars sont fabuleux. Arriver à mixer de l’electro avec des instruments, le tout avec des paroles (en français silvopli) qui tiennent la route...  Et pas besoin d’en faire des tonnes avec des looks de rebelles formatés (pour cacher la misère musicale de certains).

 

Bref, quatre victoires dont une pour un clip (sans filles en soutif rhaaa, ni mec tatoué casquetté verlan youhou) à l’abbaye de Fontevraud (ça nous change des simili gangsta) moi je dis ils ne l’ont pas volé, c’est entièrement mérité !

 

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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 20:07

J’ai un peu zappé la seconde émission. C’était la présentation des princes charmants qui se sont distingués par leurs cadeaux de bons goûts et leurs personnalités toute en retenue. J’déconne ! Y’en a un qui lui a fait un strip-tease avec simulation de coït (oui-oui-oui) et un autre lui a remis son caleçon fétiche.

 

Ils n’ont visiblement pas bien compris le principe de l’émission : à savoir qu’ils sont là pour séduire Marine et non pas pour tirer de la belette, habitués tous qu’ils sont que les greluches des boîtes de nuit leur tombent toutes crues dans la gueule.

 

elleg

 

Hier c’était un peu bataille rangée entre les muscles et l’intellect...

 

Les chippendales, n’ayant comme passe-temps favori que le sport, emmènent Marine sur un lac pour la torpiller le plus haut possible à l’aide d’un gros matelas pneumatique. Le jeu con par excellence, elle s’est mal reçue et a eu la démarche de Robocop pour le restant de la journée... Ah bah eux, les musclors, ça les amuse ce genre d’exploit, faut pas leur demander de faire une partie de trivial poursuit, ils ne comprendraient pas la moitié des questions... alors pour avoir les réponses faut s’accrocher !

 

Pendant que la brochette des dieux de l’olympe se fait bronzer (très important le teint caramel, ça fait ressortir les chaînes en or sur le torse épilé), le second choix des prétendants arrive en pédalo pour faire une surprise à Marine. Et ça marche ! Marine plante les paquets de muscles pour aller faire la bise aux autres, enflés comme des gaufrettes. 

 

C’est bien la peine de soulever de la fonte à longueur de journée et de passer sa matinée dans la salle de bains à structurer sa coiffure pour se faire voler la vedette par la cour des miracles ! Non, c’est vrai, c’est rageant, tant d’efforts...

 

Du coup le soir, Marine décide d’inviter les “anciens” au restaurant et chacun y va de son compliment. Marine aussi distille quelques mots gentils à ses invités même si elle ne peut pas les regarder en face à cause du torticolis qu’elle s’est chopé part la faute des gros nazes.

 

Pendant ce temps, à la villa, les bogosses ruminent de s’être fait piquer (non pas Marine) mais la vedette. Du coup, le plus con d’entre-eux (mais lequel, ils sont trop nombreux) décide à la manière de Stallone d’aller foutre le bordel dans les chambres des concurrents.

 

Mon dieu, que c’est fin ! Plutôt que de faire une surprise à leur dulcinée, ils décident de saccager les piaules. On peut savoir ce qu’il mettent dans les compléments alimentaires des sportifs pour que ça rende si idiot ? Leur quotient intellectuel ne doit pas dépasser leur température anale...

 

Retour à la base où les anciens découvrent avec stupéfaction l’ampleur des dégâts. Ludo (le jardinier amoureux transi) reste très calme même si on lui a sorti la peluche qu’il réservait à Marine. Bon, évidemment à part Claude et ses 150 kilos personne n’est prêt à se foutre sur la gueule...

 

Après des explications vasouillardes de la part de la racaille bodybuildée : "ben heu on s’est dit que comme vous nous avez pourri l’après-midi pendant qu’on bronzait avec Marine, on allez se venger. Voilà c’est fait, la balle au centre". Encore un raccourci sportif...

 

Même Marine fait la gueule et rejoint Rouckmoute au piano pour terminer la soirée en musique (vu que ça adoucit les mœurs). Doit pas y avoir de musicien chez les musclés...

 

De son côté Rouckmoute a la taupe qui feuge mais grâce à son éducation quasi victorienne, il raccompagne la belle sans pour autant lui mettre une main aux fesses.

 

Le lendemain, Marine appelle Sandro au parloir. Sandro c’est le strip-teaseur analphabète. Sandro ne peut pas faire un compliment à une dame sans le mot “kiffer”. Quand Sandro demande à Marine quel est son type d’homme, elle lui répond aucun du moment qu’il est un peu réservé, qu’il soit famille et qu’il aime la vie. “Comme moi” qu’il répond cet abruti alors qu’il confie qu’avec sa profession il a du mal à garder une copine. Dis donc, Sandro, c’est pas plutôt parce que tu trombonnes tout ce qui te passe à ras des pectoraux ?

 

Et puis Sandro il a du mal à répondre aux questions (à part j’te kiffe). Faut dire qu’avec les deux neurones qui se trimballent dans sa p’tite tête et tout ce vent, il peut se faire installer des éoliennes, il est capable de produire de l’électricité ! 

 

C’est Sandro qui a pris la peluche (un loup) dans le sac de Ludo. Ludo se définissant comme un loup alpha. Je n’ai pas vraiment saisi s’il se situait comme loup au niveau social ou dans la chaîne alimentaire, bref, Sandro trouve Ludo con avec cette histoire de loup alpha. Alors, moi je verrais bien Sandro comme gros blaireau bêta.

 

intell

 

Marine va donc se débarrasser de Sandro et du prof de country boutonneux.

 

Comme le confiait justement Marine, elle n’est pas tout à fait naturelle avec les bogosses. Ben oui, eux ils recherchent une nana pour le physique (genre Porsche ou Ferrari pour faire baver les copains). Donc avec des branleurs pareils, il faut toujours être au top (habillage-maquillage), pas de place au relâchement (si de la mâchoire parce que on doit s’emmerder sec avec eux si on ne kiffe pas leur life style)

 

Mais y’a encore du lourd en piste, “des” qui n’ont jamais dû ouvrir de livre depuis la primaire, “des” qui ne parlent que d’eux pour essayer d’emballer... 

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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 20:25


Dans le même veine de télé-réalité visant à ce que chacun trouve sa chacune (l’amour est dans le pré, maman cherche l’amour) W9 a pondu le concept “j’chuis belle mais je tombe que sur des beaux mecs complètement cons, j’vais changer mon fusil d’épaule et regarder les qualités de cœur”. 

 

Ça s’appelle “La belle et ses princes” (et pour une fois que mon décodeur n’affichait pas “no signal” et après moultes manipulations de l’antenne -elle est où la tour Eiffel ?- j’ai pu regarder cette émission, entre deux fous-rires quand même).

 

Alors, sur W9 ils ne s’embarrassent pas avec des questions hautement philosophiques ni ne font dans la demi-mesure, ils restent dans le cliché, voir les poncifs, à savoir : les moches sont des gens intelligents, prévenants, sensibles et les apollons sonnent creux. Et ben, voilà l’émission qui va nous permettre de vérifier !

 

La belle, qui se prénomme Marine, arrive de Montpellier (et ouais !) dans sa mini Austin de blonde du sud, en grande banlieue parisienne pour faire la connaissance de ses futurs princes, tous recrutés pour leurs qualités de cœur. A noter que les 800 km effectués en décapotable ne l’ont pas décoiffée (merci les monteurs ! sans parler qu’on a la tête comme un compteur à gaz avec le bruit, le vent et les pots d’échappements mais bon...).

 

marine

 

Marine arrive donc dans une immmmmmmmmense villa où elle va accueillir ses prétendants. Le premier arrive en décapotable (l’atout séduction) mais c’est un leurre ! Le beau gosse est juste là pour lui mettre l’eau à la bouche et la laisse les talons plantés dans le gravier.

 

Arrivent enfin les princes (presque charmants) dans une camionnette toute pourrie verte (zéro atout séduction) et sortent de là, tels des bestiaux qu’on amènerait à l’abattoir. 

 

Mais devant eux, c’est une apparition divine : ils ne s’attendaient pas à voir une telle beauté. Résultat : ça bave, ça cafouille, ça transpire, ça bégaie. Marine a revêtu son sourire commercial pendant le défilé des... des laiderons... Et ceux qui ne sont pas trop moches (alors là, tout est relatif, je suis là pour critiquer pas pour juger, épargnez-moi un procès, merci) ont des défauts d’élocution allant du chuintement, au zozotement et au débit de paroles incontrôlé.

 

Marine se retire dans ses appartements, prête à craquer lorsque la production vient lui faire entendre raison : “Dis donc bécasse, les qualités de cœur que tu recherches, les pingouins qui t’attendent dans le salon, ils les ont, alors tu bouges tes miches, va les découvrir et t’arrêtes pas au physique ! La beauté intérieure on a dit !”. 

 

Ce n’était pas formulé dans ces termes mais en gros, l’émission ne peut pas s’arrêter parce que Marine a peur de rencontrer la cour des miracles. Beeeeeeeelllllllle, qu’ils se disent tous les quasimodos, trépignants dans le salon, l’oeil qui frise, la langue pendante, le slip en feu...

 

Marine retrouve ses esprits et ses prétendants qui ont tous un petit cadeau pour elle. Ça va de la boîte à musique, en passant par le nounours, le poème, la paire d’escarpins (nomdédiou !) et un prélude de Bach interprété au piano par un rouquemoute au fort accent belge. 

 

Marine remercie tout le monde de ses attentions et part se coucher (800 bornes en décapotable, ça vanne). Le belge heureux de sa prestation monte dans sa chambre transporté par l’émotion en entonnant un air d’opéra. Pour calmer ses érections émotions, lui, il chante !

 

anthony

 

Le lendemain, la beauté prend son petit déjeuner (les garçons ont tout préparé, que demande le peuple ! quand je pense que certains ne sont même pas foutus de rincer leur tasse...) en compagnie de tous et un se distingue en lui énumérant les noms latins des fleurs qu’il a cueillies pour elle. Ça la barbe, elle décide de les mettre au sport. Les pieds nickelés en short fluos, ont un peu de mal avec les pompes et décident à la fin de la séance de balancer Marine dans la piscine.

 

La sortie de la naïade les a tous émoustillés. J’ai entendu des gueuheuh et des raaah  Certains se rappelant avoir vu de la pub pour la discothèque de leur bled pour la soirée Misse ticheurt mouillé et ça y est plus personne n’a le cerveau irrigué !

 

Marine leur propose de passer un instant avec chacun à l’heure du déjeuner et partagera le plat de l’heureux cuisinier élu. 

 

Le premier, Claude, au look de chanteur de rap-rNb arrive avec une entrée faite de rondelles de tomates disposées en fleur. Whaouh !

 

claude

 

Le second, sans doute trop intimidé, manque de lâcher son assiette de pavé de bœuf et de zharicots verts (oui-oui haricots avec un z), sue par tous les pores, reste muet et ne touche pas son assiette tant il est impressionné par la belle. Whaouh !

 

nicolas

 

Le troisième (pourtant glacier de profession) a concocté un dessert (enfin un brouet infâme) un mélange de fromage frais acide, confiture et macarons écrasés (faut être un peu con pour écraser des macarons, enfin il est glacier donc sans doute un peu givré) que Marine trouve dé-li-ci-eux mais bourratif. Enfin quand elle arrive à en placer une vu la mitraillette verbale en face d’elle. On dirait du Djamel Debouze en accéléré. Whaouh ! 

 

Bon, et qu’est-ce qu’ils ont fait l’aprème ? Ah oui, direction le jacuzzi, enfin le salon de massage avec l’horticulteur. Marine en maillot de bain deux pièces offerte aux mains expertes du jardinier, qui commence par lui dégrafer le haut avant de lui mettre une petite tape sur les fesses.

 

ludovic

 

Ah non, on ne touche ni les fesses, ni les seins. Donc Ludovic, s’applique en barbouillant Marine d’huile et c’est parti pour un après-midi confession. Quand soudain, le magicien (celui qui un a un gros cheveu chur le bout de la langue) débarque pour remplacher Ludo. Et pour être à l’aige il che met torchepoil. Il ch’achoierait bien sur les feches de Marine pour la macher mais Marine elle ne veut pas. Donc vu la hauteur de la table et la taille du magicien, ça se contorsionne pour tartiner la belle.

 

Le soir, après un barbecue et quelques mots échangés avec les plus timides (ou benêts) Marine va se coucher. La nuit, ça doit se tirer sur la nouille dans les chambres des prétendants ou alors ils dorment sur la béquille...

 

Bon, c’est comme avec des beaux mecs, les plus sûrs d’eux tentent leur chance, ça se tire un peu la bourre et c’est qui se mettra en avant. Et c’est comme ça que Sébastien l’éjaculateur verbal apporte le petit déjeuner à la princesse. Comme réveil en douceur, on a vu mieux que quelqu’un qui balance les mots comme ils lui arrivent (en vrac donc) et qui accroche toutes les syllabes. 

 

sebastien

 

Enfin bon, elle est patiente Marine car elle choisit Sé-sé-sé-ba-bas-tien pour l’accompagner au SPA. Elle invite également Claude, qui refuse car il est trop complexé par son physique, Johan (danseur de country pubère), David (ingénieur web -geek quoi !-) et Pascal.(bloggueur so hype de luxe -voir le site luxsure).

 

johann

 

Marine adore se faire pougnasser. Cette fois c’est Johan qui la barbouille de boue, ça fait un peu atelier caca-boudin en maternelle. Johan, on ne peut pas dire qu’il est moche vu qu’il est transparent. Puis c’est Sébastien toujours aussi speed qui continue le boulot et quand Marine lui demande de lui mettre de la boue sur le ventre, il aperçoit le piercing au nombril et au lieu de demander posément “depuis quand as-tu ce joli piercing ?” c’est une rafale de ga-ga-ga-ga-ga-ga-ga-ga qui est sortie.

 

En aparté, Marine confie à la caméra qu’étant elle même dans l’esthétique et connaissant bien les spas, (ah ben tiens, on m’aurait dit qu’elle était grutier, ça m’aurait étonnée ! On nous a gâtés avec les clichés de la blondeuh du sudeuh qui est esthéticienneuh et qui roule en mini) elle s’amuse de les voir ramer pour l’envelopper de boue.

 

Allez, on passe au bain avec en premier avec David. David en maillot de bain heu... comment dire... Il a été malade quand il était petit ? Il a le haut du corps qui ressemble à une allumette, la tête étant la plus grosse partie de son anatomie, c’est limite Freaks. J’était trop occupée à compter ses osselets que je n’ai pas suivi leur discussion.

 

david

 

Pascal prend la suite dans la baignoire avec sa petite bouée abdominale (un flotteur de chaque côté) et met en avant ses qualités d’entrepreneur, de décideur... faut dire qu’il coure les fashions weeks dans le monde entier alors c’est suffisant pour épater une esthéticienne. 

 

pascal

 

De retour à la villa, il n’y a que Sébastien dans la voiture. (pour les besoins de la production sans doute, elle va faire des allers-retours pour les autres ?). Nan, Sébastien ne trouve pas Marine à son goût. Bah oui, elle le dépasse d’une tête, il la trouve sortie d’un magazine, ce genre de créature ce n’est pas pour lui donc ils arrêtent là le début de l’aventure. Marine le largue à une station de bus scolaire et n’omettant pas de lui souhaiter tout le bonheur du monde et (allez vazy !) que Sébastien est une belle personne (24 heures plus tard et lui n’a cessé de lui cracher dessus à chaque phrase, fine observatrice Marine...)

 

Pendant ce temps à la villa, Claude qui n’a pas souhaité accompagner Marine au Spa décide de lui faire une surprise en lui faisant amener un cheval, car oui Marine fait du cheval. On ressort les clichés : toute jeune fille de bonne famille se doit d’avoir comme activité danse classique & cheval ou piano & tennis. Donc pendant que Claude cherche un haras disposé à lui ramener un bourrin, il envoie Luc le magichien et Ludovic faire de l’espionite dans la chambre de Marine pour trouver la photo de son cheval. Bah pourquoi ? Il ne sait pas à quoi ça ressemble un canasson ?

 

Les deux ennemis jurés (enfin ceux qui se battraient comme des coqs pour avoir un battement de cils et plus si affinités de la part de Marine) partent à la quête d’une photo de son cheval dans la piaule de la belle. Tandis que Ludo marche sur la pointe des pieds, Luc fait main basse sur la lingerie et oh ! regarde chon chtring ! Ludovic lui fait la leçon comme quoi on ne fouille pas dans les affaires (pas faux, chi cha che trouve ch’était un chtring chale). Luc sort vexé (han ben chi on peut plus rigoler) et Ludovic fait main basse sur la photo du cheval -qui est bicolore, c’est important pour la suite-

 

Ludovic refait une leçon de morale en public à Luc pour bien marquer le coup. 

 

luc

 

Dès son retour, Marine est prise en charge par Claude qui lui bande (ah non pas maintenant !) les yeux (ouf) et lui met un casque sur les oreilles pour l’amener voir le cheval et surtout, grand seigneur, se faire pardonner d’avoir décliner son invitation au Spa.

 

Alors, là Marine elle fond... sur le cheval -il est blanc le canasson !- (qui va ruiner la belle pelouse avec ses gros sabots). Dix minutes de balade après (sans Claude, le cheval n’aurait pas supporté) ils reviennent main dans la main, émus. C’est beau ! Enfin, c’est bien cadré...

 

Avant de passer à table, Ludovic renseigne Marine en douce sur les agissements de Luc (il a fouillééééééé dans ta valiiiiiiiiiiiiiiiiise) laquelle va demander après à Luc sa version des faits. Rien de grave, il a tripoté un soutien-gorge, Marine, ça l’amuse qu’avec deux élastiques et un bout de dentelle les gars puissent se mettre dans de tels états.

 

Après le repas, où elle échange quelques mots avec le Mogwaï humain (Mika) c’est l’heure du déballage de confidences pour tous.

 

mika

 

D’après vous qu’est-ce qu’ils ont répondu à la question de Marine : "Quel est votre plus gros complexe ?" Je vous laisse 2 heures et je ramasse les copies. Non, regardez la redif sur M6 ce soir.

 

Puis vient l’heure, comme dans toutes les émissions de cet acabit, de se séparer de 3 candidats.

 

Ces messieurs, sont donc assignés dans leurs chambres (par lot de 3) avec un écran affichant un compte à rebours d’un quart d’heure. Si Marine n’a pas ouvert la porte de la piaule c’est qu’ils restent sinon... ben sinon c’est l’immonde Rudy qui jarte (il n’était pas raté celui-là : un savant mélange de Sim et d’un serial killer) et les autres, ben je ne m’en rappelle plus...

 

rudy

 

Le lendemain matin (la nuit portant conseil) elle doit en dégager 2 ou 3 autres mais le beau gosse en décapotable du tout début de l’émission arrive et annonce qu’il fait dorénavant partie du jeu. Suivi de tous ces copains bodybuildés, aux coiffures structurées par StudioLine, chemises moulantes sur les pectoraux, des UV en veux-tu en voilà, du chippendale, du cake, du lourd, du tatoué, des dents blanches, de la testostérone en tablette de chocolat bref du prince charmant (à regarder et encore : mieux ça serait pire !).

 

La semaine prochaine, je ne sais pas si mon décodeur m’offrira la possibilité de mater la suite... juste pour savoir si les apollons ont quelque chose dans le caleçon cerveau.

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 12:34

Cette saison ce fut un peu celle "des-peines-à-jouïr". La faute aux candidats ? Au montage à la tronçonneuse ? De quoi faire renoncer les plus accros cette émission. Plus d'une fois, j'ai eu envie de jeter la souris l'éponge... Enfin nous y voilà ! This is zi end...

Mais avant de mettre les deux pieds dans la bouse du dernier épisode, remémorons-nous cet été pourri en images...

 

De beaux paysages...

nina03

nina04

 

Des messages subliminaux...

nina01

Comprendre : je ne sais pas par qui me faire m...

sylvain01

alexis01

Tu l'as vu ma belle grappe ?

 

Du style facheun et trendy, en restant casual...

loic03

Kaki dehors, caca dedans

celine04

Le zoli sapeau de Zozo, c'est un sapeau, un sapeau rigolo...

maud02

Nous sommes deux soeuuuuuuurs jumelles,

nées sous le signe du cageot !

jice01

Calvin Klein dans sa cuisine

 

Des leçons de séduction...

nina02

Nina m'a piqué mon nuancier Pantone !!!

celine01

fabien01

I like to mouvit-mouvit

 

Des surprises...

Philippe01

Oh ben merde ! Si j'm'attendais...

 

sylvain03

Coucou !



Des drames...

 

benoit)sabrina

Faites entrer l'accusé

 

Des regards complices (et des dents pourries)...

sylvain-valerie

 

 

De l'émotion et du glamour...

jice02

Errrrrrrkkk !

sylvain02

Chllllurp...

maude01

Concours du balcon fleuri ?

(ou réflexion bien connue dans le milieu agricole :

"Je ne sais pas si elle a du lait mais elle a les bidons !")

 

 

Enfin bref on arrive toujours pas à ça :

Lamour-vachereference

 

Mais souvent à ça (Résultat de l'année précédente, éloignez les enfants) :

aedlp2010


Alors revenons à nos moutons, brebis, vaches, cochons et couvées, quels sont les zheureux gagnants, ceux qui ont réussi à tirer leur coup épingle du jeu ? Il y a ceux qui ne repartiront pas seuls et ceux qui feraient bien de se poser la bonne question :

"Ce n'est peut-être pas la vie à la cambrousse qui fait que je ne rencontre personne mais mon putain de caractère de merde, mon hygiène douteuse, ma sous-culture, mon intellect déficient, mon vocabulaire de bulot, mon comportement d'autiste, mon physique d'erreur génétique etc..."

 

 

 

Pour ceux que ça intéresse (ceux qui se plaignent d'avoir un copine chiante) je tiens à leur disposition la géolocalisation de Sabrina (un HLM réservé aux cas sociaux. Naannn !!! incrédibeule ! Remarquez, la voie ferrée étant en face, vous pouvez la balancer sous un train de marchandise). 

sabrinahome

 

 

Et puis Jean-Michel me rappelait quelqu'un... mais qui ? Mais si !!!

 

jenmichcid   

 

En fait, hier soir, le décodeur TNT a merdé (ou alors c'est encore la faute à TDF) je n'ai pas pu regarder la dernière de l'AEDLP.

Non, en fait hier soir, je me suis encore endormie devant la télé.




 

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 19:57

L'avant-dernière de l'amour est dans le pré, où l'amour n'est pas toujours prêt mais ne doit pas être très loin, d'où ce titre à la mormoil...

 

 

horse2

 

Céline retrouve Laurent, l’amoureux transi au Havre. C’est vrai que Laurent ne fait pas ses 49 ans alors que Céline... bah... elle accuse ses 34 balais. Le travail à la campagne esquinte plus que les grèves à répétition (je vais encore me faire des potes !). Laurent donne dans la fantaisie en lui achetant un pendentif “cœur” (gros rabais sur les pendentifs “cœur”, voir chez Sylvain).

 

Laurent il est réglé comme les horaires SNCF : à 14h03 il a prévu de s’envoyer en l’air et donc direction l’aérodrome. Ça, c’est la première sortie. La seconde, c’est au resto en compagnie de son fils et de la mère de celui-ci, c’est-à-dire son ex-femme et son nouveau mari  On est tout de suite dans le bain... D’ailleurs l’ex-femme de Laurent y va de son avis : “Céline n’est pas une femme à se prendre la tête, Laurent est plutôt simple, ça va le faire”. Sous-entendu : mon ex-mari est un peu bas de plafond, je me suis fais chier comme un rat mort avec lui.

 

Le lendemain les simplets vont se pougnasser sur les falaises. C’est une horreur ces chaussettes blanches Céline...

 

Au Portugal, pour leur séjour en tête-à-tête (enfin !) Laurent n’a que deux sujets de conversation (en français dans le texte hahaha) : la qualité des rails du tram et Célineuh ! Et que je te prenne la main, et je remonte sur le poignet (et ça c’est le scaphoïde). C’est pas possible il révise l’anatomie ! Et pour l’anniversaire de Laurent, Céline s’est fendue d’un polo qui ne ressemble à rien. Voilà, les simplets ont des projets de vie commune et ça commence par la demande de départ à la retraite de Laurent. Et ouais merde ! Il travaille est employé à la SNCF...

 


 

horse3

 

Loïc quitte la France pour rejoindre sa Suissesse : Véronique, nos amis les Amish. Bon, Loïc, (je le dis et je le répète) sorti de sa Bretagne où la consanguinité a fait des ravages (l’alcoolisme aussi d’ailleurs) ben... tout l’épate. Ah ! La mer de Genève qui s’avère être le Lac Léman et son fameux jet d’eau qui pulse 500 litres d’eau à la seconde à une hauteur de 140 mètres et tout ça à 200 km/h, ben ça le fait douter de son potentiel masculin, le Loïc...

 

Mais plutôt de continuer dans les comparaisons douteuses, Véronique amène son Loïc à son cours de danse péruvienne : la mariana ocatarinatabellatchichi. Et c’est donc avec son beau-chignon-crotte-de-bique-fleuri et le costume traditionnel (deux jupons superposés) que Véronique danse au son du tambourin et des flûtes de pan. Ah, bah, Loïc, ça l’émoustille... Véronique, en pleine opération séduction l’invite à quitter ses pompes pour l’accompagner. 

 

Mais ça, Loïc, il ne peut (ou veut) pas quitter ses pompes. C’est interdit par la convention de Genève (les armes chimiques) paske si ça se trouve, ce n’était pas la semaine de sa douche...

 

Le soir, ils claquent la porte au nez de l’équipe d’M6 mais c’est pour mieux les retrouver le lendemain pour la démonstration de filage de laine sur un rouet, à l’ancienne. De vrais rustiques ces deux-là !

 

Et nous les retrouvons en Bretagne (pas trop de dépaysé Loïc ?) dans un centre de thalassothérapie. Une première pour Loïc qu’elle dit la voix-off.

 

Tu m’étonnes, il n’aura jamais pris autant de douches et fait autant de soins de toute sa vie en deux jours hahahaha...

 

Et les parigots à la régie, l’île de Batz, se prononce “Ba” et pas Baz, pov’ nazes !

 

Bon, alors nos amis les Amish, seront-ils encore ensemble pour la der des der ?

 


 

horse4

 

Fabien a chaussé ses plus belles tiags pour rejoindre Séverine à Montluçon. Et pour ne pas le dépayser, Séverine a organisé une bouffe en famille, avec amis, potes etc... la tribu quoi ! Mais si y’a de l’interro dans l’air de la part des copines, la mère de Séverine le trouve “naturel”. Par naturel, faut entendre : brut de décoffrage ? Décontracté du gland ? Mouais, enfin tout le monde les observe l’oeil inquisiteur pour savoir si les sentiments de Fabien et leur roulage de pelle c’est du sérieux...

 

Pour la soirée, Séverine a prévu une nuit à 10m de hauteur dans une cabane. Un truc bien “roots” pour le cow-boy. Mais avant, c’est trempette dans un bain à 40° (décidément faut en trouver des ruses pour qu’ils se lavent ces cradochons !), sauf que le proprio au lieu de leur foutre la paix ou de coller un CD de Massive Attack (Protection, de préférence) il leur entonne une chanson de sa province : la turlutte... Ro-man-ti-que à souhait !

 

Le lendemain, c’est re-gueuleton en famille chez le père de la future mariée. Bon, et bien le père c’est un sketch des Deschiens à lui tout seul : “ça va durer longtemps vot’ p’ti truc ?”. Ça va durer encore le temps d’un week-end en Islande (où tout est encore à 40° !).

 

Au restaurant, Séverine commande “ouane keup of waïne” du Riesling de préférence. Nan, mais oh ! Ils sont en Islande pas en Alsace. Là-bas c’est de l’alcool à 40° qu’ils servent (encore !). Enfin en buvant son “glass of white wine” elle essaie de faire accoucher Fabien de ses sentiments. Oh ! Malheureuse, il se sent coincé comme un cheval fourbu sauvage et donc répond à sa prétendante “tu me casses les couilles”. Voilà, ça c’est fait....

 

Mais il voulait une gonzesse Fabien, c’est tout ! Pourquoi faire ? Alors là... Il l’a et puis c’est tout ! Il continue le lendemain en mode ronchon même si Séverine armée de patience lui explique la signification de geyser : “qui jaillit”. En tout cas, on ne voit toujours rien qui jaillit de l’esprit de Fabien. Tout comme les monteurs d’M6 qui nous ont collé du Björk, z’ont pas été chercher bien loin...

 


 

biquet

 

Et le bonus de la soirée, ce fut Jean-Michel qui arrive chez Nathalie les bras chargés de fleurs. Non seulement Nathalie collectionne les chèvres mais elle fait aussi office de SPA en adoptant tous les zanimaux éclopés du canton. La caisse géante pour les cochons d’Inde dans le salon et l’aquarium en dessous sont là pour témoigner qu’elle aussi c’est une ravagée des bestioles.

 

Et là, Jean-Michel sort son joker en prétextant un coup de fil, il va discrétos récupérer la chèvre dont Nathalie était tombée amoureuse.

 

Cette fameuse chèvre qui avait un cœur sur la tête. Alors là, je dis “chapeau” ! Les autres avec votre pendentif cœur vous pouvez allez vous rhabiller, Jean-Michel c’est carrément le cœur (avec du poil autour hinhinhin) sur pattes qu’il livre à Nathalie. Et en plus la chèvre est enceinte (mais de qui bordel ?) !

 

Bien joué, Jean-MichMuch, tu remporte le pompon !

 

Pour se remettre de leurs émotions, Nathalie a convié des amis d’enfance pour écouter la chanson fétiche et suicidaire de Jean-Mimi. Et Jean Mimi n’arrête pas de complimenter Nathalie (Fabien, tu as des leçons à prendre) : Oh, les belles bagues, oh, les beaux doigts etc...

 

Pour faire encore plus frissonner Jean-MichMuch, Nathalie sort sa bécane pour sillonner la campagne “oh, à droite des vaches”, “oh, à gauche des chèvres” pour enfin se retrouver au restaurant. Sûr qu’on est loin du macho de Fabien (qui se résume à ses tiags, son chapeau et sa série Walker Texas Pinpin) et que là c’est la révélation de cette saison. Jean-Mimi et Nathalie doivent être déjà très amoureux pour se donner des petits surnoms bien cons qui va de “mon cœur, ma petite pupuce, ma crevette”.

 

En tout cas JeanMichMuch et sa gueule de travers, il a assuré puisqu’il arrive à décrocher une journée supplémentaire et que Nathalie avoue que ce n’est pas un homme comme les autres (pas un vrai péquenot quoi !).

 

Bon alors que reste-t’il en liste hein ? Suite et fin (enfin ouf) la semaine prochaine.

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 20:29

poney2

 

Et bien ça sent l’écurie à l’AEDLP (oui, on a hâte que ça se termine) !

 

Philippe est accueilli par Nina dans un pavillon témoin sans doute prêté par la Prod et décoré par Valérie Damidot (dis donc, y’a rien qui dépasse). Nina amatrice de sensations fortes amène Philippe faire du karting. Elle aime bien être secouée Nina hein ? Le soir, avant l’apéro et le resto, séance maquillage pour Nina et enfilage de chaussons pour Philippe (une véritable torture pour l’égo les pantoufles surtout lorsque on est en mode séduction). Évidemment Philippe colle des miettes partout sur le tapis sous le regard de Cruella-Nina.

 

Direction Paris pour manger une pizza (whaou quel trip ! heu j’m’emballe...). C’est pizza devant un match de rugby (le trip normal du fondu de matches en tous genres : la pizz,  la téloche et les chaussons, manque plus que les potes pour roter sa bière). Un sacré séducteur ce Philippe, vous m’en mettrez 3 caisses !

 

Le lendemain, c’est petit déj’ au lit pour Philippe. Nina se métamorphose en chatte avant de lui coller l’aspirateur entre les pattes pour qu’il ramasse les cochoncetés de la veille. Elle a un peu de mal à planquer son accent de banlieusarde Nina... Allez et c’est reparti pour une séance d’Aqua-branche (?).

 

Et puis c’est l’heure des bisous à la gare d’Austerlitz avant de les retrouver en Corse.

 

Bon, comme d’hab’ à peine mis les pieds en Corse qu’ils font une séance de plongée (la sieste, la promenade peinarde ils connaissent pas ?) et puis un tour de jet-ski parce que Nina elle aime “l’adré-à-Line” (???) . Bon, de son côté Philippe a eu les chocottes sur le “Jet-Set” (???). Et pendant que Nina débrieffe sur les rochers, une robe fendue à ras-la-confiance, Philippe commence à ressentir un malaise car Nina c’est une tête brûlée avec de méchants relents de dominatrice. Elle souffle le chaud et le froid et le Philippounet il ne sait plus où il est. Si ça se trouve Nina, elle attend qu’il l’attache au plumard et qu’il la punisse et vu la palette de maquillage qu’elle possède y’a de quoi planquer les bleus...

 

Jicé débarque au Creusot  chez Maud. Maud a-t’elle été saisie par les huissiers récemment parce que le mobilier et la déco c’est le minimum syndical... Ah Maud, ses chaussons en éponge roses, ses cheveux plats et gras... faut avoir faim Jean-Claude... En parlant de faim, c’est direction le seul restaurant du Creusot avec les trois lardons de Maud. Et là, la voix-off nous explique que les parents de Jean-Claude se sont séparés un soir de Noël entre les toast aux œufs de lompes (qu’étaient pas frais) et la dinde (qu’était trop cuite). Traumatisé par ce Noël foireux, Jicé ne veut pas récidiver et faire de mal aux petits nenfants.

 

C’est sans doute pour cela que Maud lui a réservé une chambre à l’hôtel de peur qu’ils ne mettent le quatrième en route. Et c’est donc une soirée plan-plan, avec les enfants qui donnent leur avis sur LE Jean-Claude la bouche pleine de pizza, la Maud qui n’arrête pas de tousser devant la télé avant d’envoyer les mouflets au lit que Jicé rejoint sa chambre d’hôtel pour s’astiquer le pingouin.

 

Mon petit doigt me dit que les enfants de Maud où ils n’ont pas la lumière dans toutes les pièces ou alors certains ont été démoulés trop chauds... enfin bon, quand on voit la mère...

 

La grosse surprise du lendemain, c’est que les enfants ont fait un flan. Alsa. Servi dans de la vaisselle. Arcopal. Mais d’où vient toute cette fantaisie ? Et après cette dégustation de cantine c’est récré : tout le monde au parc !

 

Jicé et Maud sur un banc, se comportent comme des adolescents, mais franchement attardés, les adolescents. Il y a que sur le quai de la gare (où Maud toujours entourée de sa marmaille) roule une pelle à Jicé (beuark). Comme ça, ça va les pousser jusqu’à Cannes où ils vont enfin être seuls.

 

Seuls, ouais, mais toujours aussi nigauds. Pour l’occasion Maud a été chez le coiffeur (ah quand même !) et Jicé tente le rapprochement en essayant de coller son pied sur l’entrejambe de Maud. C’est très classe, surtout quand on est au restaurant. Bon, quand Jicé entend Maud dire LE Jean-Claude, il ramasse vite fait ses pompes et se drape dans sa dignité. Maud, même si c’est amical de mettre un article devant un prénom (enfin dans l’Est de la France) c’est pas distinguay !

 

Bon alors pour eux, pas de plongée sous-marine, ni de Jet-Set ou d’Aqua-branche, c’est le tour en Buggy. Maud hurle. Ouais, elle hurle parce qu’elle est heureuse. Elle hurle aussi pour libérer toute cette tension sexuelle qui l’a fait déhotter parfois. Mais oui, ils n’ont toujours pas consommé bordel ! Et puisque Maud gueule, Jicé en profite pour la traiter de poule. Il est temps qu’ils se libèrent tous les deux ! 

 

Allez c’est reparti pour un plan jacuzzi-champagne mais ça bouillonne tellement fort que j’ai rien capté à ce qu’ils se disaient.

 

Le lendemain, sortie en mer (enfin sortie en mer : petit chalutier qui empeste le mazout) et Maud tient à rejouer la scène du Titanic (bon le bateau fait 3,5 m de long) avec Jicé. Et là, c’est mer-veil-leux ! (tu m’étonnes quand tu ne connais pas autre chose que ton bled de merde, le Creusot, et que ta seule activité c’est l’élevage de trolls, tout te paraît magique et merveilleux).

 

Sur ce, Maud dit : l’amour est dans le pré... Heu non il est dans l’eau... et Jean-Claude de répondre “il est partout” en touchant les nibards (pouêt-pouêt) de la Maud.

 

 

Chez les bisounours version XXL, Sylvain arrive en pyjama (ah non, en jogging) chez Valérie. Alors comme je ne sais pas comment écrire le bruit d’un bisou je mettrais * à chaque kiss.

- oh un collier cœur **

Ils * mangent*. Valérie * voudrait * prendre * le* temps* (c’est pénible hein ?) avant de ** se lancer * dans un * démé*nagement.

 

L’aprème elle amène Sylvain au bureau, enfin au bowling. Ils passent la soirée avec des amis puis font faire un tournoi de bowling. Et à chaque strike c’est * un patin *, 2 strikes ****une pelle***, 3 strikes ****.

 

Donc sans souci, on les retrouve pour leur WE en amoureux dans le Var. Avec pour autre activité que de s’embrasser un baptême de canasson. La démarche de Valérie à l’arrivée est comment dire ?...

 

Le soir au restaurant on remet sur le tapis * les prévisions *** de* dé**mé*na*ge***ment**

 

Le lendemain, dans la chambre pré-nuptiale, on retrouve nos deux tourtereaux, l’oeil torve et le cuissot à l’air. Puis séance de bronzage au bord de la piscine pour nos deux boudins blancs. Eux, on les retrouve sans aucun doute pour la finale.

 

L’accueil est nettement moins chaud pour Benoît en Touraine. Dès l’arrivée ils doivent se demander comment ils ont fait pour coucher ensemble le premier soir. Pour ceux que ça intéresse, vous avez pu voir le Palais des congrès (œuvre de Jean Nouvel qui nous a bien plombé les impôts) et le vieux Tours, ses maisons à colombages, le spot de tous les zétudiants en mal de cuite le samedi soir. Voilàààà... Mais Sabrina, elle n’habite pas les beaux quartiers. 

 

Pis, Sabrina elle n’a pas bon caractère. Elle invite des copains, elle les engueule par SMS parce qu’ils ne trouvent pas la route (ah bon ? mais ils sont jamais venus alors ?). Quand les copains sont enfin arrivés, calés sur le canapé et pas-bouger, on a l’impression que Benoît et Sabrina (à leur façon de s’invectiver) ça fait vieux couple genre 30 d’âge qui s’engueule par habitude ou alors ils sont déjà en phase terminale. 

 

Sabrina a foiré sa tarte. Ça pourrait être drôle si elle nous l’avait joué à la Yoyo en déclarant “j’assume l’entière responsabilité de ce désastre en me retirant définitivement de la pâtisserie”. Non, malheureux ! Une copine a voulu faire de l’humour pour rattraper le moral déjà en négatif de Sabrina et c’est le claquage de porte, la grande scène du 3... laissant tout de même les invités seuls dans l’appart’. Benoît (qui n’a rien fait) essaie de recoller les morceaux (de tarte hahaha). Sabrina est irrémédiablement une caractérielle, un truc à éviter pour la santé des nerfs.

 

Donc, le lendemain, c’est pique-nique au jardin botanique en compagnie de Skippy le wallaby. C’est donc ça, Sabrina habite la cité à côté de l’hosto. Houhou Sabrina, y’a une antenne psy là-bas...

 

Ils passeront quand même un WE dans les Pyrénées. Au choix, où Benoît est salement motivé pour ne pas finir seul ou il veut rentabiliser ses déplacements en se faisant payer en nature (si ça se trouve y’a que ça qui la calme, Sabrina).

 

Classieuse, Sabrina, trouve le matelas “putain il est ferme”. Une piaule d’hôtel grande comme son appart avec une cheminée, un lit king size, elle trouve à redire la purge !

 

Aqua-branche ? Allez Aqua-branche... Bon, ben dans les Pyrénées ça rend pas pareil que dans les Voches. Sabrina se remet (bipolaire, cyclothymique, chais pu moi...) en mode Ralette de la Casse-Burne. Même Benoît, attentionné avec son champagne ne pourra rien contre la teigneuse.

 

Heureusement, le soir, le champagne est à nouveau de sortie, le feu de cheminée  met l’ambiance (ils ne vont pas tarder à s’emboîter). Bilan : l’alcool et la fatigue les empêchent de réfléchir et le lendemain, ils décident de poursuivre leur relation.

 

J’espère pour Benoît qu’il aime l’adré-à-Line !

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3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 16:45

celineharriet

 

La petite bergerie dans la prairie ?

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 19:11




Ça va être court, je manque de plus en plus de motivation, je ne vais pas tarder à décrocher (par la force des choses, j’ai une maison, une plancha, un jardin, des copains et des chats qui m’attendent au mois d’août).

 

 

 

 

pig.jpg

 

Avec Sylvain c'est bienvenue chez les Bisounours ! Maintenant que Magali est partie, ça se bécote, ça se tripote, ça se roule des patins, ça se pelote. Et à la régie, ils ont ressorti la compil des chansons érotiques. Les soupirs appuyés de Donna Summer au moment du dessert (complètement anachronique avec le décor de taverne, soit-dit en passant...) en passant par Gainsbourg.

 

- On va se coucher, qu’il dit à ses parents

- On va se monter, précise-t-elle

 

 

 

Benjamin a du retard à l’allumage. Il s’est trouvé des copines sympas pour faire la vaisselle et une partie de tennis. Mais il n’a pas percuté qu’il était là pour emballer, ce gland. C’est donc la fin de la colonie de vacances. Y’a de quoi se poser des questions : mais pourquoi la coupette de champagne dans le jaccuzi et les soins esthétiques pour ces dames ? 

 

 

 

Qu’est-ce qu’il se passe chez Alexis ? Il n’est pas assez admiré. Il ne les admire pas non plus. Parfois on se croirait dans un cercle de prière : tous à se tenir la main et a espérer des jours meilleurs en regardant l'horizon.

 

Mais le plus important c’est Alexis sur sa bécane : regardez-moi ! Sans les pieds ! Sans les mains ! Sans les dents !  Laquelle des deux sera la plus subjuguée par ce crapaud sur sa boîte d’allumettes pétaradante ? Hum... A moins qu’il ne continue à dormir comme sa moto... toute la nuit sur la béquille...

 

 

 

On ne sait pas exactement ce qu’il s’est passé chez Jean-Michel. Pour ce qui est sûr c’est que Nathalie n’a pas voulu coucher avec lui, c’est la compagnie des chèvres qui l’a rendue euphorique.

 

Donc on retrouve Jean-Michel dans sa cuisine, un jour de pluie qui écoute une chanson qui donne envie de se tirer une balle.

 

Et là, lorsque les donzelles reviennent à la ferme c’est ambiance parloir à Fresnes. “Toi, tu montes dans ta chambre” qu’il dit à l’une avant d’échaffauder des plans “Toi si tu pars, l’autre elle va partir”. 

 

 Jean-Michel étant plus habitué à côtoyer ses vaches que des êtres humains, il a un peu de mal avec les nuances et la subtilité. Il peut caresser une vache, l’embrasser, lui faire des déclarations, celle-ci ne l’enverra pas paître (ha très drôle). 

 

Et sans vous dévoiler la fin, l’article dans mon torchon régional du jour dit que Jean-Michmuche n’a pas trouvé l’amour mais c’est fait un pote en la personne de Didier (le melonnier) chez qui il a passé ses vacances !

 

 

 

Chez Céline, c’est à Tonio de préparer le frometon et à Laurent de ramasser la merde. Mais Laurent, dès qu’il perd la bergère de vue, c’est limite si il ne convulse pas, il se démène pour toujours attirer l’attention. (mais qui lui a demander de passer la tondeuse à flanc de montagne ?)

 

Heu Céline c’est quoi ce chapeau-bonnet-béret avec deux tortellinis rouges qui pendouillent ? C’est très très laid...

 

Une petite sortie au resto pour tester le pouvoir de séduction de tout le monde et Laurent de sortir la phrase du cireur de pompes : ils sont gentils tes parents...

 

C’est l’angle d’attaque du monomaniaque obsessionnel : caresser dans le sens des tortellinis ! Sûr qu’il aurait dit “elle est pas un peu casse-burettes ta mère ? Et ton père, il picole nan ?” il n’était pas sûr de remporter le jackpot.

 

Le lendemain c’est sans ménagement et en 15 secondes chrono que Céline congédie Tonio Caliméro. A peine est-elle rentrée dans le hangar que Laurent claque la porte et se jette sur le gigot  !

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 19:08

coincoin

 

 

Chez Jicé où l'on voit l'ombre du cameraman sur le tas de foin… où Maud regarde ses pieds quand elle parle et tripote nerveusement la paille : c'est bienvenue chez les nigauds. 

 

La foire aux bestiaux où Jicé présente son tableau de chasse (deux charmantes demoiselles qu'il dit l'animateur dans son  micro) : c'est "Tournez manège". 

 

Et puis, sur du David Bowie (Let's dance hinhinhin pas du tout approprié), c'est l'apparition de Jicé en slip réglant le chauffe-eau. On a vu plus glamour… que son bronzage agricole et ses deux prétendantes habillées pareil telles des Clodettes version hard-discount. La Maud, toute émue d'aller au dancing, téléphone à ses enfants pour… ben pour passer Jicé et annoncer la bonne nouvelle ( ? ). 

 

Enfin l'heure de la boum a sonné ! Mais Béné a mal au dos et part s'allonger dans la voiture (une invitation ? on sait ce que c'est que les boums…le coup de la bagnole...) et c'est donc la Maud qui se déchaîne sur la Compagnie Créole, Partenaire Particulier et tous les nanards des années 80.

 

Le problème c'est que Jicé, il a du mal à choisir… toute cette débauche de féminité lui a tourné la tête (j'déconne, il en veut une rapidos parce que son cerveau n'est plus irrigué : la preuve, il a du mal a aligner deux mots correctement). Bref, c'est par un romantique tour en calèche avec la Maud toute ratatinée (elle me fait penser à une tortue) que Jicé lui annonce qu'elle remporte le gros lot ! 

 

Prochainement sur vos écrans : Jicé va porter son caleçon spécial saillie ! 

 

 

 

Chez Loïc (dit Crado Breiz) après une douche, ça bosse et lorsque Loïc embarque l'une des prétendantes ce n'est pas pour lui conter fleurette Nan ! Avec Marie c'est pour la saison 1 de « semailles et moissons » et pour Véro, « labourages et pâturages ».

 

Loïc emprunte la calèche de Jicé pour annoncer son choix qui se porte (hou quelle surprise) sur Véronique et là un p'tit bisou qui n'a rien arrangé à la coordination de ses neurones car il nous sort cette phrase « Rien n'est évident quand on est jamais sûr ». Abus de Chouchen ? Illettrisme ? Consanguinité légendaire ? On ne le saura jamais…

 

Alors pour fêter tout ça, ils vont sortir et c'est lors de la séance maquillage que l'on s'aperçoit que Véro, elle s'est maquillée pour l'année. T'as raison profite…

 

Le lendemain, Marie se casse en prenant soin de laisser sa combarde et ses bottes de peur de ramener des odeurs fétides et/ou des microbes et Véro reprend les rênes de la ferme.

 

 

 

Marché à 6 heures du mat', « debout les filles » pour installer le stand de Didier et jouer à la marchande avec Môman Didier à la caisse. Aurora (qui porte mal son nom car elle n'est pas du matin) reste là, les mains dans les poches. Aurora n'a pas la fibre légumineuse alors que Didier, lui, se voit bien vendre ses melons à la capitale.

 

Lors du déjeuner, Marie, visiblement n'a pas les yeux en face des trous et confond parasol et arbre. C'est bien la peine de nous prévenir en voix-off… Des fois j'ai envie de dire "ta gueule Karine"...

 

Puis séance de brushing entre les deux ennemies jurées pendant que Didier leur prépare le cadeau-souvenir-clientèle (chapeau/boutanche/porte-clés) avant de partir pour la grosse soirée.

 

On retrouve les lourds copains de Didier (qui beuglent du Sardou). Marie trouve le frangin de Didier à son goût. Pour se remettre de cette kermesse soirée, le lendemain, Didier entraîne les filles pour une promenade à cheval. Marie a peur des bourins (ah  bon ? ben ça dépend lesquels…) et laisse Aurora et Didier en plein champ.

 

Celui-ci déclare sa flamme à Aurora et lui demande si elle l'accepterait chez lui. Alors heu… ben faut pas pousser hein… Aurora adopte la tactique de l'hypocrite avec l'éternelle phrase standard : « Je t'apprécie, tu es quelqu'un de bien mais tu peux toujours courir pour me choper ». Plus classe que de lui rire au nez.

 

Et pendant le barbeuc, alors que pour Didier, y'a plus de pièces à y mettre, c'est foutu-rincé, Marie continue son cinéma avec le frangin. Didier peut se reconvertir en rabatteur !

 

 

 

Matthieu le bi-polaire : on se fait des confessions au p'tit déj', puis après il laisse son copain analyser les greluches. Le soir au resto, c'est histoire sans paroles et quand les filles essaient de lui soutirer deux mots, il fait du boudin. La nuit portant conseil, le lendemain  ils les reçoit pour un entretien individuel d'embauche

 

Matthieu a mis un joker sur la brune mais va tout de même passer son dimanche au foot en laissant les donzelles s'expliquer en famille. Du coup Mélissa arrive à faire chialer toute la famille. Faut avoir du cran pour supporter un ours pareil, comme quoi, le physique fait pas tout. Il est décoratif le Matthieu…

 

 

 

Au pied des pistes, dans les Vosges, Sabrina apprend qu'un de ses lardons est malade et qu'elle va devoir partir plus tôt. Han l'angoisse et qu'est-ce qu'on fait de Géraldine ?

Plutôt que de passer les dernières heures avec son coup d'une nuit Benoît, elle oblige Géraldine à monter sur la moto-neige pour ne pas la perdre de vue. Et là, elle nous pique une crise, comme quoi c'est dangereux, elle a peur… Sabrina est labellisée « casse-couilles ». 

 

Le soir, Benoît présente ses copains et refourgue Géraldine. Sabrina, enfin seule avec Benoît, le harcèle avec ses petites questions de tyran domestique.

 

Et dimanche c'est le départ de Miss TientLaChandelle et de BringBollocksGirl. Bon débarras ! Que j’ai pensé, car il avait vraiment l’air soulagé...

Mais non, Benoît, il va venir à Tours hein… voir si Sabrina est plus docile sur ses terres. La prochaine fois au lieu d’y aller franco (c’est toi qui l’a dit) tu te fait une petite séance de rempotage de bambou tout seul, mon gars et  t'en serais pas là…

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 19:03

raymondChez Raymond, je n'ai pas eu le temps de comprendre ce qu'il se passait (c'est vrai quoi, on n'entrave keudal avec son accent qui rocailleuh) que le cameraman, le cadreur et le preneur de son repliaient le matos. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

karineDu côté de chez Karine, Flavien dit « sacoche » décide de partir. Raphy, très perspicace lui demande si il a une part de responsabilité (la mauvaise foi ne l'étouffe pas !) et l'autre « sacoche » de répondre (enfin c'est ce que j'ai compris) : « un maillon de l'emballage ». Balloche part, heu sacoche part. Et Raphy se retrouve au restau avec Karine et (encore !) sa best friend.  Allez re-tchin-tchin (en fait, ils n'arrêtent pas…).

 

Le lendemain Raphy lui fait le coup de la panne d'oreiller des fois que Karine lui amène son p'tit déj' au lit (et Kimberley Tartine hahaha). Non, Karine, les mots doux c'est pour les bestiaux et lorsqu'un cheval hennit de travers, c'est qu'il est constipé. Le vétérinaire débarque (avec son p'tit tube en verre pour souffler dans le derrière des chevaux hohoho) et rassure tout le monde. On arrose ça avec une binouze en compagnie du père de Karine qui a l'air aussi fin de que sa fille. Au menu : fondue bourguignonne (avec de la viande cheval ?).

 

Dans le Loir-et-Cher, (ils mettent encore du J.J Goldman en discothèque ?!) Raphy plutôt que de draguer Karine (quoique celle-ci dansant avec sa copine, j'émets une réserve sur une homosexualité refoulée hinhinhin) ben il se bourre la gueule en espérant bourrer tout court. Bon alors décidez vous : Raphy casse-toi avec Miss Chochoye -surnom affectueux donné aux habitants du Loir-et-Cher par les Tourangeaux hinhinhin- et Karine, vire ta cuti !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

sylvainSylvain reçoit Miss Cochonou, mais celle-ci est à la recherche de quelqu'un qui reprendrait l'exploitation de ses parents. Il a déjà assez de vaches comme ça le père Sylvain (plus elle : le compte est bon !) et c'est la larmichette à l'œil qu'il lui propose quand même de continuer «l'aventure». (Je mets entre guillemets car on a vu des zaventures plus palpitantes). Au restau, le soir, c'est reparti pour la larmichette… Et plus tard, comme le souligne K. Lemarchand «Valérie sent le besoin de s'isoler pour un premier baiser». Hum, hum, les technicos ne sont pas loin et quand les portes des chambres se referment, le staff reste en planque à guetter lequel des deux va rejoindre l'autre. Limite théâtre de boulevard sans les décors de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell. On s'emmerde dru hein ?!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

fabienChez Fabien, ce que K. Lemarchand appelle de l'humour, c'est du comique troupier de fin de banquet. Le calendrier de femmes à poil est là pour témoigner du bon goût.

 

Fabien, c'est bière et débarquement de potes à tout heure. Après le dîner chez Môman, Fabien prend sa douche pendant que les filles carburent à la gnôle. Ça tisane pas mal cette année ou c'est mon radar à jaja qui fait des siennes ?

 

Le lendemain, promenade à cheval. Une première pour Séverine qui se retrouve avec un bourrin mal débourré. Nan, franchement, Fabien, faire son baptême d'équitation sur un truc de 400 kg aussi émotif que stupide, c'est pas cool. Donc, à la première ruade, Séverine, n'écoute que sa raison et descend du canasson.

 

Lorsque Virginie revient de la balade, c'est à sa démarche que l'on se demande si elle a fait du cheval ou si Fabien lui a cassé ses petites pattes arrières… J'ai pas bien compris le passage d'arme entre les filles mais toujours est-il que le soir au gueuleton entre amis, y'en a une qui se croit sur Meetic avec les potes de Fabien. Fabien, égal à lui même (éducation bourgeoise et retenue, j'déconne) propose une partie de TrouDuc, ce à quoi K. Lemarchand en voix-off tient à préciser qu'il s'agit d'une partie de cartes. Connais pas le Trouduc (mais par contre l'En*culette, si !).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

philippeAh… Philippe et ses deux bonasses… Le moment maudit des courses en escarpins de 12 cm. La lecture de l'horoscope qui nous dévoile tout de la semaine à venir… Nina qui manque de s'étouffer quand elle apprend qu'il n'y a que 2 salles dans le cinéma. Mais Nina, elle en veut du Philippe et elle va sortir l'artillerie lourde. Heu la vue sur le sting rouge… (ça va le cameraman ?!).

 

Nina compare la moiss-bat avec le vaisseau Enterprise. Nina, gilet en lapin, bottes Burberry, head-band se prend pour Alice au pays des Pedzouilles. Quel est ce monde imaginaire merveilleux ? ben heu… ce qui semble extraordinaire, ça s'appelle : la nature. 

 

Et Ô miracle, Philippe fait son pain tous les samedis dans un vrai pétrin. Grand seigneur, il ouvre du foie gras (sur du pain frais ça doit pas être dégueu). Déjà confondre foie gras et pâté c'est limite, mais un foie gras qui sent la pâtée pour chien… J'en aurais profité qu'elle le renifle à deux centimètres pour lui coller le nez dedans à la banlieusarde ! Et là, ça a le goût de ce que ça sent ? Ouais et ton cœur en pâte à pain, c'est très moche…

 

Malgré l'extinction de voix de Philippe, celui-ci arrive à lui cracher le morceau. Nina va essayer de faire oublier son passé de sauterelle et décide de faire une étude de marché sur la région pour pouvoir venir s'installer à la campagne. Elle se retient surtout pour ne pas gueuler « J'ai gagné ! ».

 

Sabine se casse, gentiment raccompagnée par Philou et un fond musical dramatique…

 

Philippe rentre, ventre à terre et ça va sentir le caoutchouc brûlé sous la couette (moi aussi, je peux être aussi classe que Fabien). Nina, en bonne chaudasse femme d'intérieur, en a profité pour passer la serpillière. Encore une petite chialerie de bon aloi au restaurant avant de passer aux choses sérieuses.

 

 

Entre nous, j'ai chronométré chaque passage-saucissonage-tronçonnage de candidat : 3 minutes par séquence. Certaines coupures pub sont plus longues que les séquences… c'est éreintant… à croire qu'ils le font exprès !

 

 

 

Et puis quand il n’y en a plus, y’en a encore....

 

copie

 

 

Moi je dis “pipeau, pipeau, pipeau”

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