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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 19:06

 

Il y a 5 ans, j’écrivais déjà des conneries sur mon blog. Je faisais aussi des montages (àlacon) que je diffusais par le biais de blogs plus appropriés...

 

J’ai fermé mon blog et d’autres p’tits rigolos (plutôt doués pour les montages) ont pris le relais.

 

5 ans ? Bah ouais... ça ne vous dit rien ? Alors pour vous re-situer l’ambiance (et au choix perdre le peu de mon lectorat) voici ce que j’ai ressorti des archives. Du coup, ça m’a donné envie de continuer !

 

 

 

Lafolie2

 

 

 

folie-1

 

 

 

littleBM

 

 

 

pretemoi

 

 

 

affranchis

 

 

 

bonimenteur

 

 

 

 

ptilu

 

 

 

 

paspère

 

 

 

holland-Drive-affiche

 

Et la dernière en date, puisqu'il va falloir faire près du peuple...

 


 

mon-pire-cauchemar-affiche

 

Et voilàààààààà... Pas trop déçus ?

 

 

 

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5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 17:00

Dans le ouikend, je vais boire un thé coup de rosé et échanger mes impressions sur Barcelone avec la voisine, Dali, Gaudi, Picasso, me gusta la cerveza lorsque son mari rentre et lui dit :

- "Chérie, j’ai accroché le Picasso".

 

picasso

 

Là, j’ai eu comme un moment de flottement (je sais qu’il travaille à l’hôtel des ventes mais tout de même, je pensais pas avoir des voisins si blindés de thunes).

 

Et il reprend :

-"‘Tain, j’ai pas vu le poteau et j’ai enfoncé toute l’aile".

 

Ah oui... le Picasso, leur bagnole  !

 

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 18:43

 

Quel bonheur d’être en vacances quand tout le monde est rentré. En plus, c’est pas pour me vanter mais ici il a fait un temps superbe !

 

Mais après les séances d’hosto, point d’auto (bagnole, caisse, voiture), donc j’ai passé mes vacances at home. Alors, j’en profite pour me balader en ville, faire du shopping et des courses en dehors des heures de pointes et faire des rencontres improbables. Vous me suivez ?

 

La fucking mother très distinguay

 

J’emprunte le minibus qui trimballe les mémés qui ont mal aux pieds ou les feignasses dans mon genre. A l’arrêt de l’école de musique, monte une femme d’une trentaine d’années avec un look de résistante des années 1940. Avec son gamin.

 

Habillé dans les mêmes couleurs, le gamin. Ça fait un drôle d’effet...

 

Elle, béret retenu par une épingle à chapeau, imper mastic bien noué à la taille, collants en laine dans les tons de kaki et beige, derbys en cuir marron. Le mouflet a le pull assortit aux collants de sa mère.

 

 

collants

 

Ah, j’oubliais, la dame tient dans l’encollure de son imper un chien ridiculement petit. Alors que le gamin (ou gamine en fait, j’ai pas trop pu déterminer vu la longueur des cheveux) veut aller dans le fond du minibus, la résistante a dit :

 

- Non, Tancrède, le cor ne passera pas. (même le chauffeur a sursauté)

 

(Gougueule me dit que Tancrède est un prénom (?) masculin)

Effectivement la mother à Tancrède tient à la main un étui qui peut bien renfermer un cor de chasse, ou anglais... un gros truc qui fait poimp quoi !

 

Imaginez deux secondes l’adolescence de Tancrède... Lors des soirées entre ados : va jouer “jeux interdits” au cor de chasse, toi sans faire fuir les copains. Une petite reprise de Queen ? Il n’est pas prêt d’avoir des groupies autour de sa guitare ou du piano. 

Rien que son prénom est un handicap : TANCREDE !

 

A croire que sa mère a tout fait pour lui pourrir la vie : vestimentairement et musicalement elle a fait très fort.

 

En attendant le gamin essaye d’étouffer le micro-clebs avec des biscuits. 

 

333-

 

La fucking young mother

 

Je me rends ensuite dans une supérette pour faire 3 courses.

 

Pas un chat à la caisse et là, arrive à toute berzingue une très jeune mère de famille avec sa poussette. De celle qui font des mouflets pour avoir un statut social... tsst...

 

Ni "s’il-vous-plait", ni "pardon", elle claironne bien fort que :

- j’ai un enfant et je suis enceinte !!!

Elle pousse mes 3 articles et passe devant moi.

 

En tant normal, ma réactivité aurait été au top et j’aurais pu lui rétorquer :

petit a) et moi je suis handicapée et ménopausée

petit b) lui indiquer le rayon des préservatifs (voui paske qu’à l'âge de celui dans la poussette et celui qu’elle est sensée porter, c’est de la reproduction intensive)

petit c) lui demander si la politesse est soluble dans la maternité (mais bien sûr que je l’aurais laissée passer, suffit de demander).

 

Mais comme j’étais very décontrastée, bah, j’ai poussé un gros soupir et soufflé à la caissière qu’elle devait être enceinte comme moi... son pantalon de jogging ultra moulant laissant apparaître son string rose fluo, la saillie devait être fraîche... Et un look à s’appeler Jenyfer la connasse mal-polie !

 

Le fou-rire marocain

 

Un midi, le téléphone sonne :

- Bijour, Madame, Carole Dipond, conseillère chez Isséfère, ji vodré savoir si vo faites des achats sir internet.

- oui

- i quel est votre système di sicuriti o élors votre anti-vérus ?

- j’ai un Macintosh

Et là, la Caroline à l'accent kebab est partie d’un fou-rire. Elle a juste eu le temps d’ajouter :

- vo être tris tris bien protigi madame hahahahahahahahaha

Son rire étant communicatif, on a raccroché toutes les deux le téléphone pétées de rire. 

 

Pour neutraliser un conseiller SFR, il suffit de prononcer le mot magique “Macintosh” !

 

 

hahaa

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 10:46

 

Au mois de septembre, je reçois un mail d’Over-Blog me félicitant d’être parmi les 1500 blogs les plus lus. (Nan cépapossib !) Effectivement grâce à UN article publié en octobre 2009 je suis la 1159ème sur la liste... je croule sous les commentaires, c’est le début de la gloire...

 

yeepee

 

 

Parallèlement, je suis élue déléguée du personnel et ça, c’est le début des emmerdes !

 

code-du-travail

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26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 21:14

 

Premier week-end estival, premier barbecue.

 

Invitée chez mon copain Romain dans sa nouvelle maison (avec sa nouvelle copine), à l’autre bout du département, en soirée, pour un barbecue entre potes, j’ai dit “OK” d’autant plus qu’il me fournissait “le taxi”.

 

Son copain Julien se propose de venir me chercher pour qu’on fasse la route (l’autoroute, la route puis le chemin départemental) ensemble. 

 

Je ne me souviens pas d’avoir déjà rencontré son copain Julien et avec les 120 bornes aller-retour, ben ça tombe bien, on fera connaissance en chemin.

 

Dans l’aprème je reçois un texto “Slt c Ju je passerai te prendre ver 18 h a se soir”. Pour sûr, il n’est pas prof de français... sinon hormis les fautes il aurait utilisé autre chose que le verbe prendre, ça peut être mal interprété hinhinhin...

 

A 18 h, je suis au bout de ma rue, attendant mon chauffeur et je vois arriver mon carrosse.

 

bmw

 

 

Certains mâles appellent ça un “aspirateur à gonzesses” ou un “piège à cailles”... Et moi je rajoute “il est pas né celui qui m’emballera avec une bagnole”.

 

J’espère que mon copain Romain ne m’a pas improvisé un speed-dating automobile avec son pote Juju... sinon j'vais lui causer le Cassiopée ! Paske le Juju il a tout du beau gosse : grand brun, teint mat, bien bâti et des yeux bleus assortis au ciel.

 

Et qu’est-ce qu’il fait de beau dans la vie le Juju ? Accessoirement “videur en discothèque” et surtout beaucoup de sport. Ah... ouais... ben pour la conversation ça va être coton, je ne maîtrise aucun sujet.

 

Et si on parlait voiture ? Chic alors ! Mais pas très pratique en décapotable à moins de se gueuler dessus... 

 

On arrive enfin au trou du cul du département et le temps de m’extirper de son bolide propulsé de 140 CV, 6 cylindres en ligne, double carbu (ben oui maintenant j’suis calée en béhème) et portières en fonte, les autres invités arrivent. 

 

Apparemment ici on ne se présente pas, on vous colle la bise (tiens y’en a qui se lavent les dents au Ricard !) et les mecs se balancent les grandes claques dans le dos. 

 

Ok, on n’est pas à une garden-party puisque qu’ils sont pratiquement tous en bermuda Adidas/Nike et tongues. La seule en slim blanc et compensées assorties c’est mouâââ (Lady Di au camping quoi !).

 

Je suis pas bégueule, mais il me semble que la région soit désertée par les dentistes. J’ai en face de moi, Peggy (non pas la cochonne) une collègue de boulot de la copine de Romain. Et bien Peggy, elle est très distinguai avec son sourire “Poguesque”, sa voix de poissonnière et sa tenue plus que sportswear (un bermuda en polyamide avec un empiècement marron à l’entrejambe qui donne l’impression qu’elle a... dans son froc). Peggy est aussi une grande sportive, elle s’est classée au championnat régional de... fléchettes. Et donc elle se dope au Ricard !

 

pogues

 

 

Et puis sur le côté, un couple avec leur chien. Déjà la madame, on n’a pas l’impression qu’elle est joasse d’être là surtout qu’elle adresse plus la parole à son chien qu’à son mari.

 

Ah ouais, le clebs... un bouledogue français qui n’a pas arrêté de lever la patte sur le charbon de bois, qui nous a pratiquement torpillé la soirée car c’est petit mais qu’est-ce que c’est bruyant. On avait l’impression d’avoir un tuberculeux en phase terminale sous la table lorsqu’il “respirait fort” assorti d’un p’tit vieux qui se relâche. Honnêtement, j’ai eu peur pour mes pompes blanches (prout, prout).

 

sacamerde

 

Donc en fait, ça faisait cinq couples autour de la table. Ben vu que personne n’avait fait les présentations certains ont du croire qu’on était en couple avec Juju. Alors autant s’amuser nan ?

 

Et avec l’abominable clébard, ce fut facile de balancer :

- Et ben Chéri, le chien ronfle plus fort que toi !

 

Sauf que le Juju, le second degré, y connaît pas ou il a pris peur, il a cru que je le draguais. Nan, nan, nan, beaucoup trop décoratif comme mec... et surtout peu pas de plafond (sport-bagnole-bagnole-sport). Y’a que Romain qui a pigé. Moment de solitude... tiens je vais goûter au St Nicolas de Bourgueil, vu que je ne conduis pas... hein minou ? Pense à recapoter la voiture... Va falloir me border, chéri, ce soir...

 

Wéwéwé... m’ont pas l’air très finauds tous ces “sportifs”. Où c’est moi qui fait tache ?

 

Minuit : discussion sous l’emprise de l’alcool des différents jeux vidéos crackables. Point positif à la cambrousse on voit bien les étoiles et j’en profite pour observer : les pléaïdes, le grand cygne et cassiopée, parce que les jeux vidéos ça me passionne autant que le moulbif de la béhème.

 

Deux heures du mat (j’ai des frissons) on prend la route du retour. J’espère sincèrement revoir mon copain Romain mais sans la clique de dégénérés consanguins. Sinon je ramène des cartes de chez mon dentiste et des bouchons d'oreilles pour ne plus entendre ni le clebs asthmatique (ou de la ventoline pour lui en mettre un coup dans les naseaux) et le chlip-chlap des tongues.

 

Au retour, on a discuté mécanique et prix de l’essence (j’ai même pensé que le beau Julien allait me demander des sous lorsqu’il s’est arrêté faire le plein dans une station 24/24h). C'aurait été très "sport" de sa part.

 

A trois heures du mat’, Juju m’a largué rapidos en bout de rue, trop pressé de rejoindre sa Priscillia ou Samantha qui l’avait chauffé à coup de textos pendant toute la soirée. Preuve que lui aussi s’emmerdait...

 

Surtout ne pas oublier de remercier Romain pour cette super soirée et rendre la politesse à Juju, la prochaine fois on y va en Clio millésime 1991 !

 

2010 0015

 

 

 

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31 mai 2010 1 31 /05 /mai /2010 18:35

 

Samedi, rendez-vous chez la coiffeuse. La nouvelle, celle qui cause tout le temps et qui veut savoir dans quoi le bosse et où, ma destination de vacances et gnagnagni...et si je vais bien... Non mais dis donc, on est pas chez le toubib !

 

Mais d’abord passage au shampoing par les mains de Sandy, toute fofolle...

Je la calme en lui précisant que le shampoing faut que ça soit rapidos parce que j’ai un problème de cervicales.

Après avoir gloussé pask’elle m’a mis le peignoir à l’envers, elle me demande :

- la température ça va ?

- oui

- et vos cervicaux, ça va ?

 

 

L’épreuve du bac de français au-dessus du bac à shampoing !!!

 

bac

 

 

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7 mars 2010 7 07 /03 /mars /2010 18:44

(avec 5 poches).


Maintenant pour trouver un “djin”/jean basique, standard, classique, il faut au minimum un doctorat en anglais... pour s’y retrouver dans les coupes :


Le skinny, le slim, le boot cut, le boy-friend, le regular, le flare, taille haute, taille basse...


Oiiiin... moi j’veux un jean normal et si possible sans paillettes, sans broderies, pas déchiré (mon vélo s’en charge), pas délavé aux fesses, ni aux genoux, sans surteinture qui vous interdit de vous asseoir sur le canapé beige des copains sans laisser l’empreinte de vos fesses, ni pré-dégueulassé genre “j’ai déchargé du charbon et je me suis essuyé les mains sur mon fute”.


Et ben j’peux vous dire que c’est une quête de longue haleine. Il n’est pas question non plus d’entammer son livret bleu pour acquérir un morceau de tissu siglé Levis...


J’avise une boutique de greluches de djeuns et là aidée de la vendeuse je fais mon choix pour l’essayage. Bon, on est un peu obligées de se gueuler dessus parce qu’il y a des haut-parleurs qui crachent de la techno à 130 décibels...


J’enfile le premier, enfin j’essaye... Mes fesses ne rentrent pas dedans... "normal" qu’elle me dit la vendeuse, c’est un “taille basse”. Heu... je dirais plutôt un “hanches basses”. Quand ça arrive en-dessous de la ligne de flottaison, qu’il faut renoncer à la culotte, slip, string, tanga, brésilien voir carrément envisager l’épilation intégrale, je renonce et je me dégonfle...


Second essai avec un “taille normale” . Je saisis les deux passants du jean pour rentrer dedans et là...(non pas miracle) ils me restent dans les mains. Hahem... je replace discrétos le jean sur son cintre en prenant soin de planquer les deux passants déchirés.

Je gueule un MERCI à la vendeuse et je quitte le magasin au pas de course.


Deuxième boutique où la vendeuse est énorme, boudinée dans un jean et à laquelle je n’ose pas dire que moi je flotte littéralement dans le 34 fillette... 


Je crois que je vais rentrer chez moi et me jeter sur mon lit en pleurant. Nan, j’déconne... mais je suis un brin énervée. Et puis hier, sur un portant, je trouve mon graal avec 5 poches pour 1 € ! Chez Emmaüs.


Prochaine croisade, le pantalon blanc pas transparent !

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 18:34
2010chat
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18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 16:23
uncpr10



Cherchez pas... un peu de fièvre, des médocs et la télé en fond...
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6 décembre 2009 7 06 /12 /décembre /2009 09:11

Hier matin, en route vers Ikéa -pour acheter un chalet en pain d'épice pour Noyel, n'est-ce pas appétissant Monsieur Zadzig ?- Je suis derrière une Béhème immatriculée 75. Jusque là rien de palpitant me direz-vous. Le conducteur met le clignotant pour se garer sur la droite et se ravise au dernier moment alors que j'allais le doubler (pilage/embardée). 10 mètres plus loin, again et ce manège continue 3, 4 fois. Bon il se décide "oui ou merde". Il prend la file de gauche (réservée pour tourner à gauche) et me double en faisant une queue de poisson, pour décider qu'il irait à droite, comme moi mais devant et avant moi. 
 

Les nerfs tendus comme le câble d'embrayage... A ce moment il sort en trombe de sa Béhème et me demande le chemin pour Mézy-les-deux-pognes. 

Moi, très urbaine (et souriante...) :

- Ah mais vous n'y êtes pas du tout. Faut faire demi-tour, vous reprenez la 4 voies et au rond-point, c'est tout droit.

- Merci beaucoup et il remonte dans sa caisse.
 

Et ben t'es pas arrivé mon gars, j'y vais moi, à Fouzy-les-deux-pognes. Je pense que tu vas être en retard si tu as un rendez-vous. Je t'ai remis sur la route pour Paris pov' mec ! 

 


C'est en faisant part de ma blague de provinciale au parigot en Béhème, que des copains m'ont raconté, leurs façons de procéder avec les touristes de passage...
 

L'un ne supportant pas qu'on lui cause rosbeef, pour demander son chemin, envoie systématiquement à l'opposé le british paumé. Etant donné qu'on habite dans une région envahie par les châteaux, il suffit qu'on lui demande "the castel of Azaille-lou-Railledou" (Azay-le-Rideau), il va les envoyer à "Chaillenouneceaux" (Chenonceaux). Et puis de toute façon, un château c'est un château !
 

L'autre pote, dérangé systématiquement pendant sa sieste, en vacances, sous le pin parasol par des caravaniers parisiens le hélant à coup de : "Dites donc mon brave, la route de la mer, s'il vous plait ?". Et bien, il leur refile le super détour par l'impasse qui conduit direct à la décharge municipale et au retour il agite la main et "Bonnes vacances mes braves". 


Et voilà le boulot ! Bon avec la généralisation des GPS et  les nouvelles plaques d'immatriculations, ça va devenir ardu...


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