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13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 20:12

 

alexisA PorquerollesCon, après le partage des piaules et du tea-time, cours de neuneulogie (œnologie arf). Dégustation donc de la piquette d’Alexis avec à la clé la question existentielle : “j’avale ou je crache ?” (faites comme d’hab’ les filles !).

 

Le lendemain pendant le footing de l’une, Alexis embarque l’autre pour le rangeage des bouteilles. Puis lorsque Carole revient toute émerveillée de sa promenade de santé (10 km...) Alexis l’invite au restaurant. Et là, ils tombent tous les deux d’accord sur le fait que l’amour c’est de l’admiration avant tout. Wé...  par contre lorsque le soir au resto avec les deux prétendantes, il leur annonce un retour définitif sur le continent pour cause de course de trial, on ne peut pas dire qu’elles sautent de joie. Ben Alexis, il veut qu’on l’aime pour lui, son trial, son égo, moi-myself and me ! Il confond être amoureuse et être fan nan ? Pour Alexis, taper 1.

 

 

célineDans les Pyrénées, Céline donne l’emploi du temps et le menu de la cantine à ses deux élèves. Ensuite, elle les emmène pour une sortie pédagogique qué sapélorio “le p’tit train”. Laurent est colli-collon-crochi-crochon comme un adolescent qui va au cinéma avec son amoureuse. 

 

“Et que je te frôle, et que je me frotte” sous le regard dubitatif de Tonio qui se demande ce qu’il fout là. Ben la traite des brebis mon gars et puis comme il sait y faire, y’a rien à redire.

 

Laurent c’est un peu le loup de Tex Avery avec un regard de Droopy. Il n’en puis plus ! En plus des gestes insistants, il lui a écrit une lettre. Avec des mots très timples, elle a dit Céline.

 

 

 

 

benjiChez Benjamin c’est “tu montes chérie dans le tracteur ?”

Y’a intérêt à être assidu avec Benjamin : cours de mécanique (tu vois, faut bien lubrifier, diraient Omar et Fred) de bio-éthique et culture raisonnée. Et on poursuit avec un cours de conduite sponsorisé par Monsanto.

Le soir, autour d’une raclette, Benjamin a invité ses potes pour qu’ils puissent débriefer devant la caméra, sur la terrasse à -10°. (On se fait chier hein ?)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

benoitSacré Benoît ! Après avoir offert la spécialité régionale (le gratte-cul) il réserve une table chez sa mère, à côté. Je pensais avoir échappé à la séquence courses. Et non ! Alors au menu : pâtes, riz, semoule. Des œufs ? ben non (et moi je dis, ben si, surtout quand tu fais des carbonara).

 

Puis au sortir de la supérette, Sabrina nous pète un câble (sensible, qu’elle dit la voix-off) : “Ouin, on ne me demande pas mon avis, t’aimes pas le fromage de chèvre, j’exige des excuses !” Bref, ça monte dans les tours pour des bricoles. 

 

Le premier plan du matin, c’est Géraldine savourant son petit déj’ sur la terrasse pendant qu’à l’intérieur Benoît et Sabrina se reniflent la truffe. Kicékivatenir la chandelle ? Bon, alors la Tourangelle elle n’aime pas le café, elle préfère la saucisse ! Pas farouche la Sabrina... et puis Benoît ça devait le démanger depuis un certain temps hein...

 

L’activité de l’aprème va consister à s’envoyer en l’air. “Encore ?!” qu’elle pense Sabrina, alors que Géraldine commence à tirer le museau. Programme des réjouissances : sports extrêmes concoctés par Benoît.  Donc Sabrina, s’exécute (avec ses bottes à talons mouarf) pour une descente en tyrolienne, suivi d’un saut à l’élastique (un coup à paumer ses bottes re-mouarf).

 

Le soir, (pour se remettre de ses émotions et en prévision de la seconde secousse pour Sabrina) dîner en famille et là Géraldine se dit que tant qu’à tenir la chandelle, je vais aussi taper l’incruste. Si ça se trouve moi aussi j’ai ma chance (de me faire sauter... ) Oh, ça va, c’est eux qui ont commencé !

 

 

 

Jean-michelChez Caliméro-Jean-Mich-Much (après renseignements, il habite à Town-Lost - Villeperdue, ça ne s’invente pas !) visite du musée de la vache salon, essayage de combardes puis direction les vraies vaches. Attention, on ne touche pas aux vaches de Jean-Mich-Much ! Il est très jaloux !

 

Le soir, sortie (mais où putain, y’a rien dans le coin ?) puis retour à l’étable pour embrasser les vaches et leur souhaiter une bonne nuit. Le lendemain après la traite, Jean-Mich-Much de laisse beurrer les tartines par Kimberley (tartine ! -Qui m'beurre les tartines- je l’adore celle-là !). Elles vont tout de même pas se castagner pour savoir qui fera les plus belles tartines ?!

 

Et comme Jean-Mich-Much il n’est pas très prolixe ben il rigole bêtement. Et en plus il rigole en reniflant (genre de tics qui me fout rapidos les nerfs en vrille).

 

Qui dit Touraine, dit château : direction Chenonceau où Jean-Mich-Much pédale et rame pour s’enclencher en mode séduction. “Tu danses la valse ? “ qu’elles demandent les filles. Réponse de Jean-Mich-Much : rire, reniflement et silence radio. 

 

L’après-midi, il emmène Nathalie voir des chèvres. On sent bien que ça le titille, mais plutôt que de la pousser dans le foin (à ben ouais, c’est pas le vaillant Benoît) il la prend en photo : car c’est que du bonheur, toi, ton sourire, mes vaches, tes chèvres chabadabada, fais-moi un bisou... 

 

Et là je me suis endormie. J’ai raté quelque chose ?

 

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 22:08


Bon, ben nous y voilà... Et pour qu’on s’y retrouve, j’ai fait des vignettes avec les candidats et leurs prétendantes. Merci qui ?

 

karineCorvée de courses chez Karine. Raphaël est très yaourt (très bières aussi...)et surtout très désagréable. Et que j’me la pète, et que j’frime... Karine est bien trop occupée avec faire des bisous à ses poneys. Hein Caramel ? Hein Cacahuète ? Hein Sacoche ? Ah, non ça c’est le surnom de Flavien.

 

En soirée Karine invite ça meilleure cops et autour d’une binouze (au goulot, pas de chichis beurp) et Raphy torture moralement Flavien pour savoir si il pète au lit. Pas de chichis, j'vous dis...

 

Au p’tit déj’ c’est chocolat Poulain chez l’éleveuse de poneys (haha très drôle). Flavien n’a toujours pas ouvert la bouche et Raphy fait le cake en pull blanc. Flavien et Raphy vont-ils se foutrent sur la gueule ? Combat de coqs en vue ? Non, ce maso (ben si) de Flavien porte son bourreau sur les épaules.

 

Karine, elle aime bien les extravertis grandes gueules. Elle choisira le survivant.

 

 

 

 

 

 

jicéChez Jicé, les fées du logis sont à l’ouvrage. Ça se pose des questions métaphysiques sur le fonctionnement du lave-vaisselle. Jicé attend son repas, le chien aussi.

 

Le soir, repas de famille avec la nièce et présentation de Aude... heu Maud et Bérénique. C’est bizarre, Jicé il arrive à faire des phrases pratiquement sans verbe. Et en plus ce soir il va “dépuceler” le canapé lit. Sboïiiing qu’il a fait.

 

Le lendemain Béné, frôle l’attaque cardiaque, son compagnon s’est fait la malle (le chien s’est barré). Pendant ce temps, on se prend une grosse bouse de vache avec Jicé (chlip-chlop) qui essuie le truc qui se trouvait juste en-dessous sur le ruminant. Entre la crotte du chien sur la terrasse et la bouse dans l’étable, nous sommes servis ! Bienvenue dans un monde de merde ! Jicé, tel un sauveur (aux yeux de Béné) récupère le clébard.

Midi ! C'est l’heure du mironton cramé de Maud. La ménagère de moins de 50 ans est vraiment trop émotive. 

 

 

L’aprème Maud découvre la mer en allant (pratiquement) se baigner habillée. Pour Béné, c’est le moment de re-lâcher son canious pour faire son intéressante et appeler Jicé à la rescousse. Puis les filles s’assoient tout en haut d’une falaise et Maud se confie : “j’ai les yeux qui brillent, la culotte en feu, c’est que du bonheur”. 

 

C’est tellement du bonheur que Maud perd les pédales et avoue à Jicé qu’elle a les yeux qui "papillent". Ah, l’air marin, l’iode, quand on est pas habituée...

 

 

 

 

mathieu

Du côté de chez Matthieu, les filles savent mieux manier l’eye-liner que la fourche. Le soir, à l’apéro (à côté d’une sculpture en forme de slip, si, si) c’est tellement silencieux qu’on entendrait une mouche se branler avec un gant de crin.

 

Pour illustrer musicalement le lever du jour et le dur labeur de Matthieu, les monteurs nous ont carrément collés la grosse cavalerie avec l’ouverture de Guillaume Tell. 

 

Ensuite vient la scène de la mise à bas. Ô miracle de la vie sans cesse renouvelé... et qui terminera en escalope milanaise. 

 

Puis Matthieu fait visiter sa ruine et là, les citadines regrettent qu’il n’y ait pas un H&M à l’horizon. Belle maison mais bien paumée quand même.

 

Ben oui, les filles, va falloir vous adapter ou pas.

 

 

 

 

 

 

 

loicDirection la Bretagne profonde. Avec Loïc, on marche au pas. Les courses sont rangées ? Vous avez 5 minutes pour vous préparer.

 

Le soir, après le repas, Marie demande où elle peut prendre une douche. Une quoi ? Bah, faut faire comme Loïc, une douche de temps en temps et pis un p’tit coup de débarbouillage au gant de toilette le matin.  La Suisse pourtant réputée pour sa propreté nous a envoyé le seul spécimen qui n’a rien à redire sur l’hygiène de Loïc le crado. Quoi ? Faire la vaisselle et nettoyer par terre... Bah, y’a que les gens sales qui se lavent !

 

Marie a l’impression d’être retournée au moyen-âge et en Bretagne de surcroît ! Du coup le lendemain, ça lui a tellement collé la gerbe, qu’elle trouve une bouteille d’eau de Javel et récure tout sur son passage. Et pendant ce temps, Véronique (qui me fait penser de plus en plus à une Amish) donne un coup de main à la traite.

 

Marie après le grand nettoyage, va faire prendre l’air au chien et Loïc l’accueille en lui balançant une pelle “Ben au moins t’as fait un heureux !”.

 

 

Lui c’est sûr, il veut une gonzesse pour l’aider aux basses besognes et qui ne sera pas trop regardante aux odeurs épicées lorsqu’il la culbutera dans le foin. De toutes façons, il n'a pas baisé depuis ses 22 ans il est célibataire et ne se rappelle plus vraiment à quoi ressemble une femme.

 

Allez, une virée au Mont St Michel (qui je le signale pour Loïc, est aussi une eau de cologne) pour apaiser les tensions, bouffer une crêpe et au lit (sans se brosser les dents).

 

 

 

didierChez Didier, c’est apéro aux jus d’oranges (oui, chacune le sien). Marie c’est madame propre qui passe un coup d’éponge sur la table alors que les autres n’ont pas fini le repas. Vous dérangez pas pour moi, mais je ne supporte pas les miettes et le gras. 

 

Didier, le cul entre deux chaises, doit-il ramener des croissants au beurre le lendemain ? C’est risqué... c'est gras et ça fait des miettes...

 

Le lendemain (1 croissant au beurre et un pain au chocolat plus tard) c’est la bagnole qui fait la gueule.

 

Mais le grand moment, c’est pas le coup de la panne, c’est la cueillette des asperges pleine de sous-entendus (et geste à l’appui) : “Le matin elle est toute petite et le soir elle est plus grande” (regard libidineux en coin). Donc après le calibrage d’asperges, Didier commence à vouloir analyser la situation et à vouloir parler d’amour. Après toutes ces émotions, ce sera un pisse-mémé (une tisane) pour ces dames et au lit.

 

 

 

 

Alors moi, ça commence à me gaver leurs montages à la moirmoil. C’est tellement délayé que j’suis obligée de prendre des notes pour arriver à raccrocher les wagons et au lit c’est pas facile ! 

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29 juin 2011 3 29 /06 /juin /2011 19:14

 

mouton

 

Troisième et dernière partie du speed-dating de l’AEDLP.(ouf, ça commence à être chiant leurs montages de 55 secondes par clampin et faut se concentrer pour trouver matière à écrire kekchose !)

 

Fabien, dit Lucky Luke ou “cheveux de paille” qui remet sa mèche rebelle en postillonnant, choisit Virginie (serveuse de Montélimar). Celle-ci lui ramène du chocolat au gingembre -aphrodisiaque ?- et du nougat de... Montélimar (c’est pas bon pour les dents qui dit Lucky Luke mais vu l’état de ses ratiches, il ne craint plus grand chose).

 

Son second choix c’est Séverine. Allez hop ! Tout le monde à la campagne, à la bonne franquette. On va tous dormir dans la même pièce hein ? Qui ronfle ? Qui pète ? Et puis tiens, on va bouffer du clacos ! Heu, j’ai bien entendu quelqu’un dire “j’aime le cul” en parlant du fromage. Ça commence...

 

Sylvain, qui voulait une femme enrobée aux yeux bleus est servi. C’est la foire au boudin ! Sylvain se décide pour Magali et pour Valérie. Valérie qui arrive la preum’s est présentée à Môman qui à l'annonce de son boulot (serveuse dans un bowling) lance, égrillarde : “Ben vous savez jouer aux boules”. C’est la mère de Bigard ou c’est moi qui voit le mal partout ?

 

Raymond, bien de sa personne, choisit Laurence et Sylvie. Laurence une petite grande jeunette (elle 37 ans, Raymond 52) qui est tout de suite dans le bain quand on lui annonce une petite soirée de 150 personnes. Sylvie arrive, très très pomponnée. Ah bah, désolée, y’avait pas grand chose à retenir étant donné que je ne sais pas dans quelle langue Raymond parle...

 

Jean-Michel, dit Caliméro, vouvoie ses prétendantes. Il retient Alexandra qui doit absolument goûter le lait de ses vaches et Nathalie, passionnée de chèvres, qui lui a fait une bouse mousse au chocolat. 

 

Jean-Michel il frétille de recevoir deux madame. Alors il dépose des bouquets sur les lits (ARGH j’ai perdu un œil avec le papier peint psychiédélique et la couette mexicaine !). Jean-Michel est en manque de tendresse et il met toutes les chances de son côté pour avoir des bisous, des câlins, des bisous, des câlins (avec des gros morceaux de fesses dedans). Paske faut dire les choses comme elles sont : Jean-Michmuche il a pas un physique fastoche (il a carrément la gueule en biais ouais).

 

Petite parenthèse tourangelle (j’connais la ville comme ma poche, alors ça m’a un peu perturbée) : mais bon dieu par où il passe pour aller chercher ses prétendantes à la gare ?! Ah ouais, ils ont inversé toutes les séquences... N’empêche que j’ai reconnu la brasserie où Jean-Michel, voulant amuser ses compagnes, imite le serveur en touillant les moules de Nathalie (Bon y’a pas que moi là ?).

 

Le sémillant Philippe choisit Nina et Sabine. Nina est habillée “muy caliente” avec ses lunettes de soleil de la taille d’un pare brise. Les deux brunes se sont déjà pris la tête lors du speed-dating, telles des lionnes sur un morceau de barbaque. Ça risque de fritter. Nina a mis tous ses atouts corporels en avant mais raconte connerie sur connerie dès qu’elle ouvre sa bouche : "Ah les vaches ça a des cornes ? T’as des tracteurs pour de vrai ?".

 

Nina c’est la Eva Longoria de banlieue parisienne...

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 18:44

 

boulets.jpg

 

Deuxième partie du speed-dating de l’AEDLP.

 

Alexis (qui m’a l’air bien tourmenté dans sa tête. Confond speed-dating et interro surprise sur le moto-cross) choisit Carole (comédienne-stomato, j’ai pas tout compris...) et Joëlle, prof de yoga. 

Il réceptionne sur le continent, en preum’s, Joëlle (qui s’est documentée sérieusement sur les règles du trial) puis Carole. Une petite balade sur les hauteurs de Notre Dame de la Consultation / Conspiration / Consolation avant d’embarquer ses deux dindes (ben wé elles n’arrêtent pas de glousser) pour Porquerolles.

 

Céline (Bonchour Céline !) a l’embarras du choix, puisqu’elle les trouve tous beaux ! Le premier concurrent, un certain Sébastien, est bègue (ou alors beaucoup trop émotif pour aligner correctement deux mots). Parfait, se dit-on, voilà le couple idéal... Et non, après un défilé digne de la cour des miracles, elle choisit Anthonio (maçon portugais comme son nom l’indique) et Laurent, le fameux poète de la SNCF qui est déjà transi.

 

Avant d’aller chercher ses deux prétendants à Pau, Céline se fait belle change. Anthonio, il n’a pas son permis de conduire ? Tarbes, c’est à 50 km de Pau... Anthonio les rares fois où il l’ouvre, c’est sous-titré et remarquez autant qu’il se la ferme, car il a un sourire Pleyel (une-blanche-deux-noires) qui donne moyen envie de rouler des pelles.

 

Laurent, très propre sur lui, s’est même acheté la panoplie du parfait agriculteur. Ayé, les présentations aux parents sont faites ? Les cadeaux distribués ? Allez au boulot !

 

Benjamin sélectionne Virginie et Elodie (banquière alcoolique). En guise de bienvenue, il leur offre un peignoir (suspense). Le chien est content de voir du monde, Benjamin aussi (y’en a un des deux qui ne remue pas encore la queue...)

 

Le coup de cœur de Benoît va à Sabrina (2 lardons) et Géraldine made in ch’Nord. Il les accueille dans un gîte avec une vue superbe (à entendre l’enthousiasme de Géraldine “Oxébo”). On commente le paysage, la météo et Sabrina (une tourangelle qui se gèle déjà les miches dans les Vosches) a ramené un fromage de chèvre.

 

Et le clou du spectacle a été Jean-Claude. Jean-Claude qui demande à chaque candidate que signifie “attachement”, “fusion” Oyoyoye... Entre Maud (3 enfants) complètement pétrifiée qui nous a pondu un “j’aime l’amour et j’aime la tendresse” (limite : j’ai bon là ?) et Carine “potière” qui pour le moment dort avec son chien, faute de  mieux, nous avons là une sélection très “haut du panier”.

 

Jean-Claude en vieux gars au look de séminariste, s’inquiète le matin de l’arrivée des deux angoissées si il lui reste du café. Ben non, on prendra le p’tit déj’ au Coca hein ?! Jean-Claude va se doucher et se raser à 9h25 alors que Béné est en phase d’approche. Jean-Claude  va même jusqu’à nous monter son slip noir assorti à ses fringues. Parce que sinon (pour celles que ça intéresse), Jean-Claude, il a un slip avec un coq dessus, mais c’est pour les grandes occasions. On a hâte !

 

Béné est arrivée avec son clébard et Jicé est encore dans la salle de bains... Le temps presse et Maud doit déjà poireauter devant la gare. Pô grave, Jicé lance une machine et plie le linge. Ne changez rien pour lui !

 

La scène obligatoire des courses. Mais pourquoi ne font-ils pas les courses avant l’arrivée des prétendantes hein ? C’est écrit dans le scénario de la prod qu’ils doivent tous se fader à remplir caddie de Super-U ? Heu Jicé, n’oublie pas le café -et prends-en deux paquets nigaud !-

 

On a quand même une belle brochette d’empotés, Jicé ne sait pas si il doit porter la valise, montrer les chambres ou ranger les courses... Surtout qu’en douce, il a appelé le fleuriste pour une livraison pour ces dames. 

 

Le fleuriste arrive, distribution des bouquets et débouchage de Champagne. Le fleuriste est toujours là dans le coin à attendre sans doute la pièce. Ben avec Jicé, tu vas attendre qu’il étende le linge...

 

 

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 19:22

 

Première partie du speed-dating de l’AEDLP.

 

14 concurrents, 14 paniers avec de la correspondance allant du papier à lettre couleur vert prairie à la boîte de chocolats, du poème au tableau en passant par de la photo de mecs en maillot bain... et ouais ! Des trésors d’imagination ont été déployés pour appâter le chaland l’agriculteur. Faut savoir se vendre, ma p’tite dame paske il y a certains concurrents un poil psychorigide : le prénom doit commencer par un A, elle doit être de type européen et surtout sans enfant.

 

Allez faites vos jeux !

 

Pour Mathieu, (jeune, beau, toussa...) c’est le défilé de filles maquillées à la truelle, mi-allumeuses, mi-ricaneuses. Enfin de la greluche quoi... Pour lui, le tiercé gagnant c’est Mélissa -vendeuse chez Pimkie- et Christelle, le moulin à parole qui vient de Metz et se retrouve un peu perdue dans la cambrousse.

 

Didier (le vendeur de melons) retient Marie, la fonctionnaire de Montpellier et une certaine Rorora (Aurora) -qui a du tomber dans le trou noir du “no signal” télévisuel paske pas vue- Il ne s’est même pas laissé tenté par la poupée russe qui m’avait l’air bien docile pourtant...

 

Dis donc, il a fait les choses bien le soi-disant macho : bouquet de fleurs, gîte rural loué pour l’occaz... Mais va falloir remplir le frigo et là entre la cuisine au beurre de Rorora et la cuisson vapeur de Marie, ça commence déjà  faire des étincelles... Qui a un gros cul ?

 

didier

 

 

Le choix de Karine (miss Poney) se porte sur Raphaël, un chippendale (inspecteur des zimpôts si j’ai bien compris) qui roule des mécaniques et Arnaud, non Flavien. Bon, on sent tout de suite que Karine, la déco c’est pas son truc. Deux lits en fer, une ampoule qui pendouille au plafond : Bienvenue à Alcatraz.

 

La moisson de Loïc s’est avérée un peu compliquée car pour amadouer les concurrentes, le son de cloche c’était : “viens pas à la campagne, c’est loin, fait froid, il pleut tout le temps, ça pue, tu vas te faire chier, y’a pas une Fnac à 100 km à la ronde”.

 

Enfin y’en a deux que ça n’a pas démotivées c’est Véronique (une suissesse et sa coiffe folklorique hum hum) et Véronique. Les deux TGV des prétendantes ont du retard et pour relaxer la première, il lui colle du biniou dans la bagnole (sophrologie bretonne sans doute...).  Et dès que les deux donzelles sont ensemble, c’est le combat de poules :

- moi je sais réparer mes chaussures toute seule

- et ben moi je sais patati et patata

- et ben moi patati patata. 

Niveau CP pour épater la maîtresse, manque plus qu’elles lèvent le doigt et tortillent du cul sur leur chaise... Moi m’dame, moi m’dame !

 

Sinon, M6 en nous présentant 4 clampins par semaine, la saison n°6 de l’AEDLP va se terminer quand ? A la Toussaint ? 

 

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 19:02

Avant d’entamer la saison 6 de l’AEDLP, prenons des nouvelles des anciens candidats.

 

laedlp

 

Karine Lemarchand, habillée comme une mariée, essaye de nous refourguer les pires meilleurs moments de l’émission de l’année dernière.

 

Philippe (Monsieur Margarina) s’est “vu briller dans les yeux” de sa dernière conquête. Du coup il se reconvertit dans le photo-voltaïque.

 

Chez Pascal, Karine Lemarchand passe son doigt sur le buffet poussiéreux et fait la bise d’un air dégoûté à ce gros plein de soupe de Pascal. La bête curieuse a même été paparazzé jusqu’à dans ses champs. Faut bien ça pour photographier le chaînon manquant entre l’australopithèque et le métro-sexuel..

 

Agnès a gardé la bague dont Olivier voulait le remboursement. Aaahh... Plaisir d’offrir, joie de recevoir... Si, c’est de l’or, Agnès, revends-la !

 

Jean-Pierre et Vincent vivent leur crise d’ado sur le tard. Ben une fois débarrassés de la pression familiale (les parents sont canés hein) c’est la fête du slip. Et je confirme, Jipé n’a pas fait semblant d’être con. On retrouve son ex-copine, la vendeuse de confiture, un pissenlit dans la bouche. Très bucolique cette image, mais pas facile de causer avec une fleur coincée entre les dents.

 

Guy, l’ours des Pyrénées s’est trouvé une belette...

 

Yoan et sa suissesse, les zamoureux, se sont bien empâtés. Oui d’accord elle attend un bébé mais Yoan se tape sa couvade aussi nan ?

 

Avec Freddy, c’est retour dans la 4ème dimension du langage :

 

- l’idée m’a venue d’envoyer une lettre recommandée

 

- Je veux que ça vient tout seul.

 

Le constat est sévère : Freddy a été démoulé trop chaud. 

 

 

Ensuite en zappant, je tombe sur une émission qui fait dans la récup’ des émissions de téléréalité et là, bam, je tombe sur mon Freddy se faisant épiler les narines (ils appellent ça un relookage) et prendre une leçon de séduction en relevant les manches de sa chemise à carreaux. Ca fait beaucoup trop d’émotions en une seule soirée ! 

 

La semaine prochaine, c’est le speed-dating avec les petits nouveaux et après on tape dans le dur, les coupaings !

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23 avril 2011 6 23 /04 /avril /2011 17:26

 

En principe j’ai vraiment autre chose à faire le samedi en fin d’aprème que me coltiner cette daube d’émission tartinée de bons sentiments et d’artisans bien velus : j’ai nommé sur TFouane, "Tous ensemble". Je tiens tout de même à ouvrir une très grande parenthèse pour signaler que le slogan syndicaliste "tous ensemble" est une récup’ faisandée de Bouygues qui, il faut le préciser, n’autorise pas de syndicat dans son entreprise. Je ferme la parenthèse.

 

Alors depuis que j’ai la TNT, le décodeur et la télécommande assortie, j’arrive systématiquement par la ouane. Et me voilà en train de mater Marc-Emmanuel Chemizacaro. Ceci dit, je viens de voir l’émission originale  made in USA (hin, hin j’ai la TNT maintenant) dont s’est inspiré TF1 (pouf, pouf) ils arrivent carrément à mobiliser la ville de Chicago. Pour TF1, c’est Fouzy-les-deux-Pognes et son défilé de (grosses) majorettes.

 

Bouygues1

 

Mais revenons au début et au fond de commerce de la tévé : la misèreuh ! La misère intellectuelle est exploitée, elle aussi, mais de l’autre côté de l’écran.

 

Bon alors, au pif, on plante le décor avec le combo habituel :

 

Maman seule et au chomdû + compagnon décédé + enfants en bas-âge + entrepreneur pourri = galère

 

Femme au foyer + mari malade/handicapé/alcoolique + tripotée d’enfants + entrepreneur mort = galère

 

Homme seul avec enfant en bas-âge + tornade + enculé d’assureur = galère

 

Dans toutes ces configurations, ce sont les amis de la famille (ou de ce qui l’en reste) qui appellent à la rescousse TVBouygues.

 

Tel un apôtre (sous cocaïne) Marc-Emma, sa chemise à carreaux et sa casquette débarquent pour tout remettre en ordre (j’ai pas dit aux normes) dans la semaine et tout cela grâce à la générosité des zhabitants de Fouzy les deux Pognes et des fournisseurs potentiels limite rackettés par téléphone et surtout par la présence des caméras.

 

Bouygues n’a jamais été réputé pour la restauration de monuments historiques, ça tombe bien, faut tout péter ! Marc-Emmanuel prend sa grosse voix de chef de chantier et dirige le chantier comme si il y avait un diplôme d’ingénieur dans le bâtiment. Il arrive surtout à gérer les cameramen, cadreurs et preneurs de sons qui s’emmêlent les pieds dans les rallonges des électriciens.

 

med1

 

Tout le monde est racketté-réquisitionné (mais pourquoi faut-il attendre la tévé pour se sortir les doigts du... hein les voisins et la famille ?).

 

Les moins pénalisés (au niveau du temps, du boulot, de la sueur) ce sont les grandes enseignes de meubles et déco. Marc-Emma c’est la Valérie Damidot du discount.  Et pourtant Damidot, c’est pas toujours folichon mais au moins elle s’entoure de professionnels. Par contre, faudra m’expliquer pourquoi ces deux-là gueulent tout le temps des travaux et pour la découverte de la nouvelle maison-déco prennent un ton de psychanalyste.

 

Bon Destructor est passé par là. La famille dans le malheur/misère va découvrir sa nouvelle maison décorée comme un pavillon témoin. Soudainement Marc-Emma se transforme en petite chose fragile et distribue des Clinex vu que tout le monde chiale.

 

 

Omondieu céchénou ? Ben wé...

 

 

Les poutres ont disparues sous le placo (on vous avait prévenus, Bouygues c’est pas des délicats), restait plus que de la peinture vert anis et rose fushia chez le droguiste du coin, une salle à manger invendable en pin massif, un salon en skaï “taupe”, quelques stickers “miaou” pour la chambre de Calista, deux lits “formule 1” en contreplaqué et les housses de couettes assorties pour Stanley et Bradley chez le marchand de meubles en cessation d’activité . Sans parler des radiateurs de marque Toupourito, de l’isolation en coton-tige-écume-de-pot-au-feu-galvanisé (copyright familial sur deux générations de Cassiopée), de la robinetterie en plastique, tout ce beau matériel étant garanti le temps de diffusion de l’émission.

 

Elle est pas belle la vie (chez TF1) ? Et tous ces gens derrière le portail qui sont venus quémander des mercis vous applaudir et qui ont passé une semaine à trimer comme des esclaves avec la satisfaction de vous redonner un toit ?

 

Non, ne partez pas tout de suite, la vérité est ailleurs le meilleur se trouve et et c’est un peu pour ça que j’ai écris cet article.

 

Et puis, y’a pas moi qui me moque :

 

 

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 16:09

Heu.. le nuage radioactif a déjà touché TF1 ? C’est quoi cette émission faite avec des ex-candidats de télé-réalité (c’est-à-dire du TF1). Je viens de tomber par hasard sur cette merd... et je n’ai pas saisi le concept ou but du jeu mais j’ai vu de drôles de tronches.

 

Je ne sais pas si TF1 fait dans le recyclage d’abrutis ou essaie de s’approcher du casting de l’excellent film “Freaks” mais ça me laisse perplexe...  en tous cas on s’approche sérieusement des phénomènes de foire du film de Tod Browning.

 

freaks1

 

Il y a des VIP (very important personality) d’un côté et les zôtres (les wanna-be-vip : ceussent qui veulent devenir céléb’). Tout ça en faisant rien à part passer à la télé.

 

J’ai beau chercher des talents, des artistes, il n’y a que des célébrités de pacotille sous une épaisse couche de putasserie. En vrac, je vous donne :

 

- une belle brochette de tarlouzes hystériques (ouais, je sais, je vais encore me faire des ennemis chez les gay-friendly)

- de la Leslie-Afida-bitch Turner qui n’arrive pas à faire carrière à L.A. et vient secouer sa crinière et son “ass” à paillettes chez TF1.

- du Kévin de banlieue et de la Bervely de MarseilleCon

- du vide intersidéral représenté par Mickaël Vendetta

- Giuseppe et ses 3 mots de vocabulaire

- des créatures mi-homme mi-femme (FX comme “effets spéciaux” in ingliche)

- du Tarzan de cambrousse au regard bovin à qui il manque une cloche autour du cou

 

et de la Elsa Fayer en bout de course à placer dans les VIP ou les wanna-be ?

 

freaks4

 

Ou alors TF1 fait partie d’un vaste complot international visant à hypnotiser les foules afin de leur faire croire n’importe quoi.

 

Si ils arrivent à faire croire que l’on devient (n’importe qui en faisant n’importe quoi) :

 

  • une vedette
  • une star
  • un pipole
  • un vip

 

en ne faisant rien à part montrer :

 

  • sa tronche
  • son cul
  • ses nibards
  • ses défauts d’élocution

 

à la TV à la majorité de la populasse qui regarde la Ouane, y’a pas de raison de ne pas essayer de nous faire croire que les effluves de la centrale nucléaire de Japonie c’est du Chanel n°5 et que les missiles envoyés en Lybie saupoudrent des confettis multicolores.

 

freaks3

 

Si le nuage made in Japan ne pouvait irradier que TF1 (je pense que c’est fait là) et si l’on pouvait malencontreusement balancer un missile air-sol destiné à Khadafi sur cette chaîne, honnêtement je ne bouderais pas mon plaisir.

 

Par mesure de sécurité, je ne vais pas me risquer deux fois devant cette émission, ayant dépassé ma dose de nullité audiovisuelle admissible pour un mois. 

 

 

 

 

* voir film Wargames

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 18:06

laedlp1

Oui, je vous remets l'illustration, je n'ai pas eu le temps d'en bidouiller une autre.

 

 

Un beau troupeau de 14 têtes pour cette nouvelle saison de l'amour vache (ma version de l'amour est dans le pré à moi et à mon fidèle lectorat).

 

Fabien (Meurthe et Moselle) 33 ans éleveur de vaches et chevaux

Mi-Lucky Luke, mi-hard-rockeur, Fabien est végétarien (hou, ça rime). Je ne sais pas si c'est la région mais l'Est de la France nous fabrique des « Pascal ». Pas causant à part pour sortir de belles phrases « 'Tain j'ai mal au cul sur ce tronc d'arbre ! ». Classe… Y'a des amatrices de cow-boy refoulé ?

 

Alexis (Var) 47 ans, viticulteur

Je ne sais pas si c'est Fabien qui déteint sur Karine Lemarchand, mais pendant la dégustation de rosé, elle nous sort « ça donne la diarrhée ? ». Et puis après, sans doute un peu pétés, le viticulteur l'initie au bouchage du pinard : « tu la rentres bien dedans -la bouteille- et faut pas oublier le petit chapeau -la capsule- ». Divorcé avec 3 enfants, Alexis veut une femme artiste, pas trop petite et appréciant la piquette du Var.

 

Sylvain (Orne) 33 ans, éleveur de vaches et agriculteur

Sylvain nourrit ses bestiaux au tourteau (nan Karine pas le crabe). Le tourteau, celle saloperie transgénique qui fait prendre 900 kilos à une vache en 2 mois (l'inverse de Ouait Ouatcheur). Sylvain a une voiture-chenil pour transporter une meute de teckels malodorants. Mais ce qu'il préfère Sylvain c'est dessiner de beaux sillons dans la terre. D'ailleurs, il le dit lui-même : « une femme c'est comme la terre » (et c'est pour ça qu'il la bourre , en un mot hinhin). Il recherche une femme aux yeux bleus.

 

Jean-Michel (Indre et Loire - c'est chez moi ! c'est chez moi !) 38 ans, vaches laitières

Jean-Michel vit « vache » : de son exploitation à sa maison, son horizon c'est les meuh. De la boîte aux lettres à la collec' dans le séjour, c'est un obsédé du ruminant. Jean-Michel c'est la cosette de l'AEDLP, l'avait pas de papa, l'avait pas de maman. Dans un sens, ça nous change de ceux qui vivent encore chez pôpa et môman. Bon, Jean-Michel est moche mais c'est une fée du ménage et pour un célibataire (heu vieux gars ?) c'est rare. Jean-Michel, il cherche une cuisinière, une pâtissière… pas trop tarte.

 

Mathieu (Maine et Loire - c'est chez Zadzig !) 28 ans, vaches laitières

Karine Lemarchand est accueillie par la mère et la sœur, mais Mathieu est aux petits soins (couverture et pique-nique improvisé dans le parc à vache). Mathieu souhaite une femme grande et mince. Précision : Mathieu a la phobie des crapauds (donc, les crapauds, n'écrivez pas à Mathieu !).

 

Céline (Pyrénées Atlantique) 33 ans, éleveuse de brebis

Céline est sourde (bon, on ne se moque hein) mais va falloir prêter l'oreille (ha bah oui) :

« J'ai tincanque brebis ti gueulent comme ça »

Céline est fille unique très, très proche de ses parents. Elle élève aussi des lapins qui lui salopent la pelouse et des cochons pour les bouffer. Elle veut juste quelqu'un de beau comme le cadreur ou le preneur de son…Céline fait 1m47, c'est plutôt là le handicap…

 

Jean-Claude (Seine Maritime) 42 ans, vaches laitières

Encore un passionné de vaches que l'on suit en direct de l'échographie (et hoplà, un bras dans une vache), de la livraison de lait, d'œufs et de taille de bavette à la boulangère.

Niveau culture, Jean-Claude, il s'est arrêté à Claude François. Il recherche une femme mince, très très gentille parce que lui il aime rendre service à tout le monde.

 

Benjamin (Seine et Marne) 29 ans, céréalier

Benjamin a eu son bac céréalier par correspondance. Son frère fait de la psychologie fromagère en déclamant des vers comme Gonzague Saint Bris (ça promet avec ses deux là). Karine Lemarchand manque de s'endormir le nez dans son café pendant que Benjamin il déblatère. Il a plein d'idées sur tout mais pas d'idée précise sur la meuf qu'il recherche.

 

Karine (Cher) 31 ans, éleveuse de poneys (j'ai ricané)

Donc éleveuse de poneys et débourreuse de bourrins, Karine dit kiki est fille unique, aime faire la fête et les pompiers. J'ai rien dit !

 

Benoît (Vosges) 37 ans et devinez ce qu'il fait ? Allez tous ensemble « éleveur de vaches laitières » ! 

Bon, le truc marrant c'est que Benoît a un frère jumeau, "Sébastien" et qu'ils ont essayé de faire tourner chèvre Karine Lemarchand. C'est pas un peu bidonné leur scène ? Pourquoi le cameraman suit Benoît qui doit passer juste un coup de fil... mmouais...

 

Raymond (Ariège) 50 ans, éleveur reproducteur (on tient du lourd, là les copains !)

Raymond compare sa mule au GIGN (y vont être contents les élites de police). Il a une fille de 17 ans avec qui il vit en appartement en ville (y'a des villes en Ariège ? Pardon). Il cherche une femme brune, mince qui a déjà des enfants. 

 

Loïc (Ile et Vilaine) 46 ans, dans la meuh again !

Célibataire vivant encore chez môman (l'état de la gazinière !!! Le meuble en formica argl !) habite dans un hameau au fin fond de la Bretagne. Si quelqu'un est intéressé par un breton pur beurre… ou un Freddy Kenavo...

 

Didier (Hérault) 46 ans, éleveur de meuh-lons . Nan, maraîcher !

Didier maîtrise l'art de faire pousser le melon en débardeur Adidas. « Les femmes c'est spécial » qu'il dit ce macho de base. Il veut une femme présentable, coquine (70% de sexe dans une relation) et croyante. Alors, y-a-t'il une future Madame Berton dans le public ? On en tient un bien là...

 

Philippe (Lot) 46 ans, céréalier et vaches

Philippe, ses vaches, son quad… Ses parents faisaient pousser du tabaque ! Philippe recherche une brune sophistiquée… Moi, Philippe, je ne le sens pas hétéro à 100 %... J'chais pas... la coupe et la couleur de cheveux, le jean et le t-shirt moulants, les santiags, le jardin nickel...

 

 

Quant à Karine Lemarchand, quelque soit l'endroit, pour elle c'est toujours beeauuuuu ! Qu'elle en profite, parce que pour le moment ils sont tous très sympathiques, tendres et gentils mais, on le sait, ça ne va pas durer.

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6 novembre 2010 6 06 /11 /novembre /2010 12:54

OMONDIEU ! Hier, en rentrant d’un anniv improvisé -en face de chez moi cool- et de la journée du baptême du feu de la DP, j’me suis dit :”qu’est-ce que je pourrais bien regarder à la téloche pour me finir ?”.

Et je suis tombée sur la nouvelle pourriture le nouveau concept de té-effun : 36.15 code kinenveu de mon fils ?

 

Je ne vais pas vous débriefer la totalité de l’émission, vu que je l’ai prise en cours de route et que j’ai du m’endormir au 3ème candidat. 

 

Alors c’est quoi ces mères castratrices qui veulent caser leur fiston avec ce qui ce fait de mieux à leurs yeux ? Elle veut faire le bonheur de son fils, la mère-maquerelle ? Fallait peut-être pas le couver aussi longtemps...

 

Donc en catalogue nous avons de la bimbo à foison, du collagène, du botox, du bonnet F synthétique, de la fausse blonde, des UV, de la vraie pute !

 

Commençons par Marie-France et son Guisepe :

 

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Argh ! 

Guisepe Botox et Marie-France Chambre-à-air

 

Pendant que le fils se fait des UV au fond de son lit Louis XVI, Mère-maquelle emmène les prétendantes chez son conseiller en image (le chirurgien esthétique pour être claire). Marie-France voudrait savoir jusqu’où les poupées mannequin choisies par son fils seraient prêtes à re-faire pour être en adéquation avec son “il est beau mon fils” (accent pied-noir à la Marthe Villalonga).

 

Ouais, chez eux, c’est tout dans le paraître. Donc au Guisepe, il lui faut de la Barbie (avec sa tronche de Ken passé au four). Typique du mec qui n’a rien dans le citron, adore se pavaner avec de la bimbo fraîche si possible dans une bagnole de luxe, tout ça pour faire bisquer les copains. Grand classique...

 

Dans les prêtes à passer au bistouri, y’en a une qui se fait glisser des implants bonnets D dans son petit soutif 85A sans moufter. Tout de suite elle parait beaucoup plus intelligente aux yeux dessinés au feutre de la Mama.

 

Suit une grande gigue brune plantureuse qui se refuse à retoucher quoi que soit. Tu m’étonnes ! Le pif c’est déjà fait, et elle prend le même chemin pour avoir la bouche gonflée à 6 bars comme la Mama.

 

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Marie-France jeune ?

 

 

Ensuite, une belle noire mais avec des ballons de foot sous le menton en guise de roploplos. Rien à ajouter ? La Mama envisagerait une lipossucion... beuark...

 

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T'aimes le foot ?

 

 

Y’a un moment, je me suis demandée si des gens comme ça existent dans la vraie vie... Sûr ? C’est pas des comédiens ?

 

Après le trash, on envoie la séquence romantal et sentimentique. Direction une boutique de robes de mariées. Allez hop ! Tout le monde en princesse pour défiler sous le regard de la Môman de Dumbo ! Envoyez la meringue et la chantilly ! Et puis la marche nuptiale aussi...

 

 

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Alexandre-Dumbo

ou quand la chirurgie esthétique peut rendre service

 

 

Et puis après cette séance “un jour mon prince viendra”, en route vers la backroom avec la maman de l’homosexuel. “Regarde mon fils comme il est pédé” toujours avec l’accent de Marthe Villalonga.

 

On n’est pas sectaire chez té-effun, on est très ouverts, très gay-friendly quand il s’agit de faire de l’audience parce qu’on ne peut pas dire que chez Bouygues (les velus du bâtiment) on aime les tapettes.

 

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Mon fils, il peut s'asseoir sur un petit-suisse sans l'écraser !

On est jamais trop aidé !

 

 

Et la maman de Benjamin décide de faire passer un test aux potentiels co-pains-pines de son fils à la piscine. Attention séquence, soit disant altruiste, qui consiste à sauver quelqu’un de la noyade.

 

Ouh le gros prétexte de la mother pour se faire peloter les nibards et embrasser sur la bouche en jouant le rôle de la pseudo-noyée. Ben si elle a trouvé que ça la mère pour se faire tripoter, c’est réellement la misère sexuelle...  Y’a-’il un psy dans la salle ?

 

Nan mais sérieux... T’as vu ta gueule Guisepe ? Et celle de ta mère ? Y’a comme un problème là ? Relation fusionnelle qu’ils disent... Moi j’y vois de l’inceste refoulé nan ?

 

Pas sûr, que je regarde la suite, ça m'a un peu collé la gerbe... (ou alors c'est le Vouvray pétillant, vous croyez ?)

 

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