Enfin les bribes de ce que j’ai vu... Parce que, entre les coups de fils (ou je coupe le son) et le plateau télé (et je remets le son) et les assoupissements répétés, je n’ai pas vu ni entendu grand chose.
Alors, j’ai surtout vu de la grosse bagnole (y’a que chez Freddy que ça rapporte pas l’élevage et le cultivage !) :
Jean-Pierre et sa Porsche avec un cœur en peluche qui pendouille au rétro. Les possesseurs de Porsche rient (porcherie huhuhu). En plus Jean-Pierre il s’était mis sur son 31 pour aller faire un tour de coucou. Comme ça, si l’avion se crashait, il était prêt à enterrer.
Alorheu... après...
Sylvie qui roule en Mercèdes et Vincent (le grand brûlé) aussi en Merco. Philippe (le hardeur) il commence à déteindre sur la penderie de Sylvie ou quoi ? C’est quoi ce short orange, on croirait une bâche de la DDE !
Et puis...
Ben Freddy qui se fait larguer par ses deux prétendantes et qui reste tout seul assis sur les marches en train tripoter sa nouille fermeture éclair (en haut ! en bas ! en haut ! en bas !). Aah, ça fait du bien mon Freddy !
D’après ce que j’ai lu sur certains commentaires, Freddy fait de la peine. Non mais dites ho ! Vous avez pas l’impression de vous êtes faits avoir au montage. La musiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiique putain ! On nous aurait collé l’Adagio de Barber, tout le monde chialait devant sa télé.
Remontez la séquence avec le générique de Benny Hill. Et ben ça va pas rendre pareil...
De mon côté je suis plus là pour faire de l’ethnologie télévisuelle que pour prendre partie pour l’un ou pour l’autre des concurrents. Je sais, je n’ai pas cœur et j’adore me moquer de ceux qui se mettent en pâture volontairement dans la petite lucarne.
Bon après j’ai du m’endormir comme une grosse bouse car j’ai entendu : “Mais tu as une poitrine généreuse, montre-la !”. J’étais devant “Belle comme un camion toute nue”.